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Les lectures d'Astrid
28 février 2010

No pasaran, le jeu

mardi 4 août 2009

No pasaran, le jeu
de Christian LEHMANN

Résumé :

Thierry, Éric et Andreas sont trois camarades de classe liés par leur passion commune pour les jeux sur ordinateur. Pendant un voyage scolaire à Londres, ils font une escapade qui les mène dans un magasin spécialisé, une caverne d'Ali Baba pour fanatiques de simulation sur petit écran. Mais le marchand, un vieil homme, remarque sur la poitrine d'Andreas un insigne auquel ses camarades n'avaient pas accordé d'attention. Il murmure "Ça ne finira jamais…" et leur donne un jeu. En leur ordonnant d'y jouer. Un jeu "d'enfer".

Quand le virtuel rejoint le réel, quand le passé pare l'actualité d'un désagréable air de déjà vu, le frisson n'est pas loin. Celui qui attend les trois héros de cette histoire est du genre "grand frisson". Ils en ressortiront profondément bouleversés, tout comme le lecteur de ce roman qui se déroule sur fond de guerre, proche et lointaine à la fois, en Bosnie, et où ressurgissent les fantômes des poilus de 14-18, des martyrs de la guerre d'Espagne, des déportés de la Seconde Guerre mondiale. Une plongée passionnante dans l'étrange et dans la réalité, en même temps qu'une terrifiante approche des sentiments humains les plus vils. Pour une prise de conscience aussi, de l'importance du savoir et du souvenir. Un livre magnifique, actuel et intemporel, qui se dévore d'un bout à l'autre dès 12 ans. --Pascale Wester

Mon avis :

Un véritable coup de coeur pour ce livre. Je l'ai lu en janvier 2008 et je m'en souveins encore et il me donne encore des frissons dans le dos. Je vous le remets aujourd'hui car demain je vous mets le résumé de la suite. Un livre vraiment à mettre dans les mains des ados car ce livre dénonce les jeux vidéos mais aussi les guerres et les personnes qui se font enrôlés pas n'importe qui.

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25 février 2010

Le garçon qui ne pouvait pas voir les livres en peinture

samedi 18 avril 2009

Le garçon qui ne pouvait pas voir
les livres en peinture
de Ellen WILLER

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de Ellen Willer

Quatrième de couverture :

Le garçon qui ne pouvait pas voir les livres en peinture Lire, Étienne a toujours détesté ça.
Les livres, c'était bon pour les autres, les premiers de la classe, sa mère, les filles, les profs. Lui, il avait mieux à faire. Mais voilà que ses parents divorcent. Rien ne sera plus jamais comme avant. Alors, tant qu'à changer...
Le soir de l'annonce, seul, perdu, enfermé dans le bureau de sa mère, Etienne attrape un livre. Un recueil de nouvelles. Le titre de la première le fait sourire : Un jour rêvé pour le poisson-banane. A la cinquième ligne, le mot " sexe " l'accroche.
Et c'est parti. Étienne plonge dans l'histoire. Il se distrait de la sienne. Il devient curieux des livres, amoureux des livres. Au point d'avoir envie d'en écrire un.

Mon avis :

J'ai adoré. C'est un récit qui remet la lecture à l'honneur. C'est un livre court, 94 pages, il est tellement joli. De plus chaque chapitre a le nom d'un auteur et elle explique dans le chapitre pourquoi. Je le conseille à tout le monde (à partir d'une dizaine d'années).

LISEZ-LE, VOUS NE SEREZ PAS DECUS

23 février 2010

Des vents contraires

Des vents contraires
d'Olivier Adam

Quatrième de couverture :

Depuis que sa femme a disparu sans jamais faire signe, Paul Andersen vit seul avec ses deux jeunes enfants. Mais une année s'est écoulée, une année où chaque jour était à réinventer, et Paul est épuisé. Il espère faire peau neuve par la grâce d'une retour aux sources et s'installe alors à Saint-Malo, la ville de son enfance.
Mais qui est donc Paul Andersen ? Un père qui, pour sauver le monde aux yeux de ses enfants, doit lutter sans cesse avec sa propre inquiétude et contrer, avec une infinie tendresse, les menaces qui pèsent sur leur vie. Dans ce livre lumineux aux paysages balayés par les vents océaniques, Olivier Adam impose avec une évidence tranquille sa puissance romanesque et son sens de la fraternité.

Mon avis :

Je l'ai lu pendant mon hospitalisation à Berk sur Mer et cette histoire se passe à Saint Malo donc j'avais la vue de la mer devant moi. Mais cela ne m'a pas fait aimé pour autant cette histoire. Olivier Adam raconte la vie de tous les jours sans plus, mais on se demande quand même pourquoi sa femme a disparu.

21 février 2010

Mes amies, mes amours, mais encore ?

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Mes amies, mes amours, mais encore ?
d'Agathe HOCHBERG

Quatrième de couverture :

Dur, dur de supporter un homme passé les premiers mois et les premiers émois ! Et aux remarques en tout genre, s'ajoutent bien entendu les petites manies horripilantes, les fautes de goût navrantes, l'égoïsme permanent...

Confrontées chacune à de remarquables - quoique différents - spécimens de veulerie masculine, Jeanne, Violette et Natacha, trois amies d'enfance, doivent bien reconnaître qu'à trente-cinq ans les choses ne se passent pas exactement comme dans leurs rêves. Mais contre mauvaise fortune cœur vaillant et, avec énergie et détermination, ces trois-là sont bien décidées à botter le derrière à leur destin... et à leurs hommes !

Mon avis :

J'ai adoré. Il est drôle, incisif mais tellement vrai que cela en vient drôle. Je me suis reconnue dans certains cas avedc mon mari (nous avons 25 ans de mariage tout de même). J'ai hâte lire un autre livre de cette auteure qui, pour moi, a été une vraie découverte. Je l'avais pris pendant mon hospitalisation et j'ai vraiment passé un bon moment avec ces trois femmes.

18 février 2010

Parce que je t'aime

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Parce que je t'aime
de Guillaume Musso

Quatrième de couverture :

Layla, une petite fille de cinq ans, disparaît dans un centre commercial de Los Angeles. Ses parents, brisés, finissent par se séparer. Cinq ans plus tard, elle est retrouvée à l'endroit exact où on avait perdu sa trace. Elle est vivante, mais reste plongée dans un étrange mutisme. À la joie des retrouvailles, succèdent alors les interrogations. Où était Layla pendant cette période ? Avec qui ? Et surtout pourquoi est-elle revenue ?

Une histoire d'amour envoutante, un livre profondément humain qui vous plonge dans le mystère et le suspense, un dénouement que vous n'oublierez pas.

Mon avis :

J'ai lu ce livre pendant mon hospitalisation à Berk sur Mer. Je l'ai lu en une journé tellement j'ai été passionnées par cette histoire d'enlèvement et de retour. Je n'ai trouvé aucun temps mort, à chaque page il y a une nouvelle intrigue. Ce livre m'a tenue en haleine du début jusqu'à la fin.

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14 février 2010

Otto, autobiographie d'un ours en peluche

dimanche 22 novembre 2009

Otto
de Tomi Ungerer

"Présentation :

"J'ai compris que j'étais vieux le jour où je me suis retrouvé dans la vitrine d'un antiquaire. J'ai été fabriqué en Allemagne. Mes tout premiers souvenirs sont assez douloureux. J'étais dans un atelier et l'on me cousait les bras et les jambes pour m'assembler..."

Cet album de jeunesse "Otto, autobiographie d'un ours en peluche" estun livre illustré de 32 pages.
Nous suivons Otto, petit ours en peluche, qui nous raconte sa vie, mélange de bonheur et de tragédie. Car l'histoire d'Otto se déroule des années 30 à nos jours et elle aborde de façon simple et pudique les horreurs de la guerre, de l'antisémitisme et de la déportation, la libération des américains, mais aussil a puissance de l'amitié et du souvenir.
Cel ivre est très émouvant mais nécessite d'être bien expliqué aux enfants car son côté cru et direct peut les perturber."

Résumé pris il y a plus d'un an sur un blog mais je ne l'ai pas noté. Si la personne se reconnait qu'elle se fasse connaître et je mettrai son lien. J'ai repris au mot près son billet car je pense exactement la même chose.

11 février 2010

Le portrait de Dorian Gray

Le protrait de Dorian Gray
d'Oscar Wilde

Description :

- Ainsi tu crois qu'il y a seulement Dieu qui voit les âmes, Basil ? Ecarte le rideau et tu verras la mienne. Il avait, prononcé ces mots d'une voix dure et cruelle. - Tu es fou, Dorian, ou tu joues, murmura Hallward en fronçant les sourcils. - Tu ne veux pas ? Alors, je vais le faire moi-même, dit le jeune homme qui arracha le rideau de sa tringle et le jeta par terre. Une exclamation d'horreur s'échappa des lèvres du peintre lorsqu'il vit dans la faible lumière le visage hideux qui lui souriait sur la toile. Il y avait quelque chose dans son expression qui le remplit de dégoût et de répugnance. Grands dieux ! C'était le visage de Dorian Gray qu'il regardait ! L'horreur, quelle qu'elle fût, n'avait pas encore entièrement ravagé sa stupéfiante beauté. Il restait encore des reflets d'or dans la chevelure qui s'éclaircissait et un peu de rouge sur la bouche sensuelle. Les yeux bouffis avaient gardé quelque chose de la beauté de leur bleu. Le contour des narines et le modelé du cou n'avaient pas encore perdu complètement la noblesse de leurs courbes. C'était bien Dorian. Mais qui avait peint ce tableau ? Il lui semblait reconnaître son coup de pinceau. Quant au cadre, il était de lui. C'était une idée monstrueuse et pourtant il eut peur. Il prit la chandelle allumée et la tint devant le portrait, Son nom figurait dans le coin gauche, tracé en longues lettres d'un vermillon brillant.

Mon avis :

J'ai eu beaucoup de mal à lire ce livre. Je l'ai trouvé lent, très lent. La fin est surprenante. Ce n'eest pas un livre qui restera gravé dans ma mémoire. J'ai lu ce livre sur les conseils de ma fille et pour une fois je n'ai pas aimé car généralement les livres qu'elle me conseille je les aime beaucoup.

9 février 2010

L'empreinte sanglante

L'emprunte sanglante d'un pied nu, la suivre au long d'une rue...

1 sujet proposé par l'un des pères de la littérature américaine il y a un siècle.
1 défi relevé par huit maîtres du thriller réunis pour la première fois.
7 nouvelles inédites, sept intrigues d'exception.
Un livre que vous ne pourrez pas lâcher avant d'avoir suivi toutes les pistes de L'Empreinte sanglante...

Résumé des nouvelles :

  1. Ma plus belle histoire d'amour de Raphaël Cardetti : L'auteur nous embarque sur une fausse piste. J'ai trouvé la fin affreuse.

  2. Le fracas de la viande rouge de Maxime Chattam : Comment devenir un tueur en série. Du pur Chattam dans toute son horreur. J'ai adoré.

  3. Le raid d'Olivier Descosse : Peut-on faire confiance à ses anciens camarandes de classe lors d'un raid sur une pile déserte. Connait-on vraiment ses amis ?

  4. Délocalisation d'Eric Giacometti et de Jacques Ravenne : Comment empêcher la délocalisation de France vers un pays de l'Est. La fin est génial.

  5. J'aime votre peur de Karine Giebel : Que faire d'un déséquilibré mental ? Un espoir existe-t-il de le voir changer ?

  6. Dernier contrat de Laurent Scalese : La vengeance est un plat qui se mange froid.

  7. Ouroboros de Franck Thilliez : Réalité ou fiction, la frontière est quelques fois limite. La nouvelle que j'ai le moins aimé.  J'ai été déçu par l'auteur.

Mon avis :

Tout d'abord je remercie Lilibook de m'avoir prêté ce livre à ma demande. Vous retrouverez son avis ici

J'ai vraiment beaucoup aimé ces nouvelles. J'ai un autre livre écrit de la même façon mais je ne l'ai pas encore lu. Grâce à ce livre j'ai découvert de nouveaux auteurs de polars et je pense me procurer leurs livres un jour.

7 février 2010

Titeuf : Mes meilleurs copains (n°11)

Mon avis :

Comme tout le monde le sait j'adore Titeuf aussi bien en livres qu'en dessins animés. Cet opus est toujours aussi bien. J'ai particulièrement aimé la page 40 sur "Le gène du racisme", je vous mets l'histoire mais sans les images :

  • titeuf : Maxime... Pourquoi ta peau, elle est brune ?

  • Maxime : Ben... Parce que je suis noir

  • Titeuf : Ca je sais ! Mais pourquoi

  • Maxime : Parce que je suis d'origine africaine...

  • Titeuf : Hé ! Ho ! T'es né à côté de chez moi !

  • Maxime : Ca n'a rien à voir ! C'est dans les gènes ! C'est écrit dans les chromosones si t'as la peau noire, jaune ou blanche...

  • Titeuf : Ecrit dans les chromosones !!?? Ca doit être écrit vachement petit!!

  • Titeuf : Alors si on changeait un minuscule gène de rien du tout, on aurait une autre couleur de peau ?

  • Maxime : Ouais !

  • Titeuf : Pourquoi les gens sont racistes contre des gènes ?? C'est nul ! C'est tout petit...

  • Maxime : Ben... J'sais pas...

  • Maxime : MA mère, elle a bien peur des araignées... C'est tout petit aussi.

  • Titeuf : Ca doit pouvoir se soigner...

  • Un grand mec : DEHORS LES NEGROS !

  • Titeuf : ? Lui il a rien compris...

  • Un grand mec : ?

  • Titeuf ; Il doit y avoir plein de fautes d'orthographe dans ses chromosomes, si ça se trouve, on pourra l'opérer du gène du racisme ?

  • Maxime : Ouais ! Et mettre des araignées à la place !

Je trouve cette planche excellente, n'est-ce pas ?

titeufL'histoire :

Le papa de Titeuf annonce une grande nouvelle : il vient de trouver du travail dans une société américaine et grâce à cela, la famille va enfin pouvoir déménager. Woah le choc ! Cela veut-il dire que Titeuf va devoir abandonner tous ses copains ? Fini les tirages de slip par-dessus le pantalon ? Finies les chasses aux moustiques pour récupérer des gênes de dinosaures ? Cela signifie t-il qu’il va s’éloigner de Nadia et qu’il risque de ne plus la reconnaître quand il reviendra par hasard dans la région 15 ans plus tard ? Les copains lui font des cadeaux d’adieu (pourris) et Titeuf règle ses comptes dans le quartier, dorénavant certain d’éviter les représailles. Oui mais voilà : la famille déménage certes, mais dans l’immeuble d’en face, car la société du papa est peut-être américaine, mais pas le lieu de travail… En revanche, la vraie bonne nouvelle, c’est que la maîtresse est envoyée en stage de mise à niveau pédagogique ! Elle est remplacée par Monsieur Quoinot, un jeune prof chauve aux méthodes modernes « relativement » sympathiques…
4 février 2010

La femme qui pleure

La femme qui pleure
de Viktor LAZLO

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Si vous voulez que je vous l'envoie, demandez-le moi

9782226195838Quatrième de couverture :

Ida Sayag attend son procès depuis sa chambre d’hôpital psychiatrique. Elle s’essaie à dénouer les fils qui l’ont menée jusqu’à l’irréparable, déliant le long ruban des hommes de sa vie depuis la Martinique de son enfance. Il y eut d’abord son père, puis Greg, Emmanuel, John, Selim et tant d’autres, il y eut son fils Alexandre qu’elle a couvé d’un amour exclusif, et surtout Adrien, l’amant terrible, celui qui l’a manipulée et brisée. Ida ausculte minutieusement le mécanisme de la dépendance amoureuse dans laquelle elle a peu à peu sombré jusqu’à perpétrer le plus abominable des actes…

Mon avis :

J'ai reçu ce livre grâce à Babelio. C'est un livre très dérangeant sur l'amour que l'on peut porter à un homme. Jusqu'où peut-on aller pour se faire aimer d'un homme ? Ce livre essaie de répondre à cette question. Je me suis doutée au départ du livre son acte irréparable mais l'on suit la longue descente aux enfers de cette femme.

Je remercie Babelio et Albin Michel de m'avoir fait découvrir ce livre. Ce livre sort aujourd'hui et c'est le premier livre de Viktor Lazlo.

Livre lu pour le chalenge 1er roman

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