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Les lectures d'Astrid
6 mai 2013

Veuf de Jean-Louis FOURNIER

veuf

Quatrième de couverture :

"JE SUIS VEUF, SYLVIE EST MORTE LE 12 NOVEMBRE.

C'EST BIEN TRISTE.

CETTE ANNEE, ON N'IRA PAS FAIRE LES SOLDES ENSEMBLE."

Mon avis :

Page 19 :

"Cette année, très peu m'ont souhaité bonne année ou bon Noël.
C'est étrange, les gens n'osent pas parler de bonheur à celui qui vient d'avoir un grand malheur.
Je ne comprends pas. C'est justement quand on a eu un grand malheur qu'on a besoin de voeux de bonheur, ceux qui sont déjà heureux n'en ont pas besoin. Quand vous êtes malheureux, on dirait que le société souhaite que vous le restiez. Définitivement."

Je vous ai recopié cette partie car je la trouve terriblement juste.

J'ai lu ce livre après le décès de Monsieur Colin, cette personne de ce blog l'ont connu. Il est décédé comme Sylvie d'une crise cardiaque et je pensais prêter ce livre à sa femme pour lui remonter le moral. Mais non dans quelques temps peut-être mais c'est encore un peu juste, il est mort en janvier (le 11). Jean-Louis Fournier parle de son veuvage avec sourire et tristesse. Il a la possibilité de le voir comme cela (mais je pense que c'est sa vie qui lui a appris à réagir comme cela).

Le Manque doit être terrible après 40 ans de mariage. Que faire sans elle ? Parait-il que c'est la première année la plus difficile à passer car on pense toujours à l'an d'avant quand notre moitié était encore là. Mon beau-père m'a dit le jour de la mort de ma belle-mère "Maintenant je suis tout seul" (ils venaient de fêter leur 50 ans de mariage). Je pense que c'est absolument vrai car tant qu'on est deux ça va même dans les pires galères car chacun tire l'aute du bon côté mais après, que faire qunad on se retrouve tout seul ? Je ne sais pas et je ne veux pas le savoir.

Un très grand moment d'émotion.

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2 mai 2013

G229 de Jean Philippe BLONDEL

G229

Résumé de l'éditeur :

" Je vous ai accordé une salle. Une salle, vous savez, ça n'a pas de prix. C'est la 229, bâtiment G. G229. Allez chercher la clé chez la concierge. Bon, je crois que cet entretien est terminé. Nous nous croiserons souvent désormais. Bienvenue ici. " Je remercie le proviseur, mais il ne m'écoute déjà plus. Un proviseur, ça a beaucoup de choses à penser. Un prof, non.. Un prof, ça ne pense qu'à une chose, ses classes. Puis soudain, il est de nouveau là, présent. Il me fixe. Il dit : " Le plus dur, dans le métier, vous savez, c'est de manier le on et le je. " Je réponds que euh, je ne suis pas sûr de comprendre. " C'est une institution, l'école. Vous entrez dans un bulldozer. Il faut arriver à en devenir membre sans perdre son individualité. Ce n'est pas aussi facile qu'on le croit, vous verrez. Le on et le je. Réfléchissez-y. Bonne chance ! "

Mon avis :

Que dire de ce livre ? Rien je n'ai pas aimé, l'histoire ne m'a pas ému du tout. Je suis passée à côté de l'histoire. Je l'ai lu en entier en exspérant quelque chose qui n'est pas arrivé.

J'ai lu Blog du même auteur et il m'a plu. Pour l'instant un avis mitigé sur cet auteur.

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