Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Les lectures d'Astrid
29 mars 2015

Le bal des débris de Thierry JONQUET

26464517_5439919

Résumé emprunté sur Babelio :

Tout a changé dans la vie de Frédo, qui pousse des chariots dans un hôpital pour vieux, le jour où Alphonse Lepointre, plombier-zingueur dans le civil mais resté truand dans l'âme, a été admis aux urgences. Ensemble, ils décident de monter le coup de leur vie : c'est le soir du bal, le bal des « débris », qu'ils vont soulager de ses diamants une riche pensionnaire, par ailleurs bien gardée... Rebondissements, panique, prise d'otages, Jonquet met en scène une époustouflante course-poursuite au terme de laquelle les diamants sortiront bien de l'hôpital.

Mais dans quelles conditions !

Et pourquoi ?

Mon avis :

Une petite déception en lisant ce livre. La fin est digne de Thierry Jonquet mais l'histoire en elle-même n'est pas terrible du tout. Les personnages sont insignifiants, je suis vraiment restée sur ma faim.

Je n'ai pas retrouvé le côté décalé" de ce livre. Dommage.

 

Publicité
Publicité
24 mars 2015

Le billet gagnant et deux autres nouvelles de Mary HIGGINS CLARK

9782210754850

Quatrième de couverture :

Pauvres riches ! Leur fortune attise bien des convoitises. La millionnaire Alvirah en sait quelque chose, elle qui s'est convertie en détective amateur. Qui donc a pu cacher un cadavre dans son placard ? Sa belle et frêle voisine est-elle un froid assassin ou la victime d'un redoutable complot ?
Une chose est sûre : lorsque l'on gagne le gros lot, mieux vaut choisir ses confidents avec soin...

Dans ce recueil de nouvelles, la « reine du crime » tisse des intrigues machiavéliques auxquelles les élèves seront ravis de se laisser prendre. Sa prose efficace permet de mettre en lumière les ressorts du genre policier et d'exploiter de façon vivante les registres littéraires. Son étude est prolongée par un groupement de textes sur les ancêtres du roman policier.

Mes impressions :

  1. LE BILLET GAGNANT : Peut-on user de tous les stratagèmes pour récupérer son bien ? Pour l'auteure, la réponse est oui sans aucun souci.
    L'histoire : Un homme boit et se saoule. Il dit à une jeune femme qu'il a gagné au loto et que le billet est accroché à sa chemise. Elle le ramène et lui vole son billet.
  2. MEURTRE A CAPE COD : Comment prouver son innocence après 12 ans de prison ? Grâce à Alvirah Meehan, ex-femme de ménage, qui a gagné à la loterie.
  3. LE CADAVRE DANS LE PLACARD : Comment prouver son innocence quand tout vous accable ? Grâce à Alvirah.

Pas mal, bien pour les adolescents.

 

20 mars 2015

L'héritage de Tata Lucie de Philippe SAIMBERT

l_heritage_de_tata_lucie

Quatrième de couverture :

Tata Lucie est une emmerdeuse. De son vivant ce n'était pas une sainte mais, une fois morte, elle se surpasse pour pourrir la vie de sa famille. Le testament est clair : pour toucher l'héritage, ses neveux doivent s'installer avec toute leur famille dans la maison de la défunte. Et ce n'est pas un palais ! Tata Lucie leur a réserve une autre surprise, une sorte de chasse au trésor rocambolesque, les pieds dans la boue. Bienvenue à la campagne ! C'est certain, les chers neveux ne vont pas s'ennuyer et, au coeur du Béarn, ils sont entraînés dans une aventure qu'ils ne risquent pas d'oublier... Mais que ne ferait-on pas pour toucher le pactole ? Comique de situation, dialogues savoureux et coups de théâtre s'enchaînent jusqu'au final orchestré par la chère tata Lucie. Un dénouement forcément étonnant.

Mon avis :

J'ai passé un excellent moment avec les héritiers de Tata Lucie. Une vraie jubilation. Cette histoire est racontée par Joseph, le fils du frère aîné, âgé de 14 ans. Nous passons un mois de juillet tout en rebondissement car il faut trouver un bijou, caché par Tata Lucie, pour toucher l'héritage. Elle les guide, au-delà de la mort, par des énigmes auxquels il faut répondre pour avancer. Un vrai jeu de pistes. Les 4 frères, leurs épouses et leurs enfants vont passer par toutes les étapes de la gaieté à la fureur.

Je ne peux que vous le conseiller fortement pour passer un très agréable moment.

16 mars 2015

Ca peut pas rater ! de Gilles LEGARDINIER

9782265098367

Résumé :

- J'en ai ras le bol des mecs. Vous me gonflez ! J'en ai plus qu'assez de vos sales coups ! C'est votre tour de souffrir !
Marie pensait avoir trouvé l'homme de sa vie, jusqu'à ce que son couple implose de façon brutale et scandaleuse.
Anéantie, elle prend une décision sur laquelle elle jure de ne jamais revenir : ne plus faire confiance aux mâles et surtout, ne plus rien leur passer.
Ni dans sa vie privée, ni au travail. On remet les compteurs à zéro. On renverse la vapeur. La gentille Marie est morte, noyée de chagrin. À présent, c'est la méchante Marie qui est aux commandes.
Marie est remontée comme un coucou. Marie ne croit plus à l'amour, ce mirage source de tous les malheurs des femmes.
Mais voilà, Marie a du cœur, une famille, des amies aussi tordues qu'elle et une soif de vivre qui n'a pas fini de la précipiter dans des plans impossibles. Et si, au-delà de ses illusions perdues, il était temps pour elle de découvrir tout ce qui vaut vraiment la peine d'être vécu ?

Mes impressions :

J'ai appris un nouveau mot avec ce livre : "Je te globique", c'est à dire "Je t'aime" entre amis.

J'ai aussi appris cela "On devient vieux lorsque l'on cesse d'apprendre", alors j'espère ne jamais devenir vieille et avoir toujours des choses à apprendre.

Au sujet de l'histoire, j'ai passé un très bon moment rempli de joie et de moment plus intime. Ce livre parle de nos relations entre couples mais aussi les relations au travail, ce livre ne manque pas de parler de plan de restructuration et je trouve cela bien.

Marie s'est fait plaquer comme une mal-propre par Hugues, son amour qu'elle adorait, alors elle jure de se venger par otus les moyen s possibles et imaginables. Elle complote avec son amie Emilie, qui n'est pas toujours d'accord avec les choix de Marie, mais elle suit quand même.

La fin est comme je l'avais imaginée, une très belle fin, une très belle histoire d'amour et d'amitié.

MERCI MONSIEUR LEGARDINER POUR CE DÉLICIEUX MOMENT.

 

13 mars 2015

Les plumes d'Asphodèle de mars 2015

c3a9critoire_vanishingintoclouds3

Voici les 19 mots, suivis de mes trois mots en U, inspirés par la phrase de Gaëlle Josse : ce qui fait 22, vous avez donc le droit d’en laisser un de côté !

Douceur, printemps, déserter, sommeil, chaleur, renaissance, air, bernard-l’hermite, édredon, paresse, plume, aile, volupté, insouciance, liberté, vaporeux, virevolter, cigogne, nuisette, ubac, univers, urgence.

Voici mon texte pour les plumes du mois de mars 2015 :

 

Le printemps, pour moi, c'est tout d'abord la renaissance de la nature, mais c'est surtout le retour de la chaleur, de l'insouciance et de la liberté.

Liberté d'enlever notre édredon en plumes, de virevolter en nuisette le soir sur un air de musique. Ensuite je trouve le sommeil et je rêve que je paresse en regardant se promener un Bernard-L'Hermite ou de regarder une cigogne avec ses grandes ailes m'apporter de toute urgence son bébé, le beau de l'univers forcément.

Le printemps c'est aussi de profiter de la douceur des rayons de soleil et de déserter la campagne pour aller se prélasser sur une plage de sable fin avec volupté. Je peux enfin remettre mes robes de tulle vaporeux et je n'échangerai pour rien au monde cette place contre un ubac.

Pour les autres textes des autres participants c'est ici

 

64106

 

Publicité
Publicité
12 mars 2015

Même les politiques ont un père d'Emilie LANEZ

9782234077621_x_0

Quatrième de couverture :

Père manquant ou père trop présent, défié, chéri ou renié : de quel père Manuel Valls, François Hollande, Marine Le Pen, Jean-François Copé, François Bayrou, Ségolène Royal, Arnaud Montebourg, Najat Vallaud-Belkacem, Nicolas Sarkozy, Pierre Moscovici, François Baroin ou Marisol Touraine sont-ils les enfants ? Et ces pères, auprès desquels ils ont fourbi leur exceptionnelle ambition, qu’ont-ils transmis pour que leur progéniture fasse montre d’une telle voracité ?

Émilie Lanez a reçu, au cours de son enquête, beaucoup de confidences, parfois très inattendues, de personnalités politiques pourtant habituellement secrètes. Ces récits, croisés à ceux de leurs parents, de leur fratrie et de leurs proches, sont inédits. On y comprend combien tous, sans exception, demeurent prisonniers de leur histoire familiale.

 

Mes impressions :

Certains hommes politiques, je les comprends mieux depuis que j'ai lu ce livre.

J'ai enfin compris pourquoi Nicolas Sarkozy aimait autant l'argent, le pouvoir et un besoin de se faire aimer par tout le monde. Son père ne l'aime pas, il le traite comme un "petit conseiller municipal" car il n'est que Président de la France, il aurait été président des Etats Unis cela aurait beaucoup mieux.

J'ai enfin compris pourquoi Marisol Touraine est si mal habillé : c'est son père qui a plus de 80 ans qui choisit ses vêtements.

J'ai enfin compris pourquoi Marine Le Pen fait de la politique car c'est la seule façon qu'elle avait de voir son père.

J'ai enfin compris pourquoi François Bayrou me semble si sympathique. Son père est mort le même jour que Monsieur Pompidou (président de la France) le 2 avril 1974.  François Bayrou a 6 enfants et 19 petits enfants.

J'ai enfin compris pourquoi Jean-François Copé est aussi indu de sa personne. Ses parents l'admirent au plus haut que l'on puisse admirer quelqu'un même si on leur fait remarquer qu'il a fait des choses pas nettes, les parents affirment que cela ne peut pas être vrai.

J'ai enfin compris pourquoi Ségolène Royal parait aussi froide, elle a du se battre contre son père à l'aâge de 19 ans et ne lui a plus jamais recauser.

J'ai enfin compris pourquoi François Hollande fait des petites blagues car il voulait vraiment faire rire son père qui était dépressif.

 

Ce livre m'a apporté beaucoup sur la connaissance des hommes politiques car j'adore la politique mais je n'aurrai jamais pu en faire à cause des couleuvres qu'il faut avaler.

 

8 mars 2015

Nos étoiles ont filé d'Anne-Marie REVOL

indexnnn

Quatrième de couverture :

C'est étrange...

Dans le vocabulaire courant, quand on perd son père, sa mère ou ses deux parents, on dit qu'on est "orphelin".

Quand on perd sa femme, on dit qu'on est "veuf", ou "veuve" quand c'est son époux.

En revanche, quand on perd ses enfants, on ne dit rien. Il n'y a pas de mot pour désigner cet état.

Mon impression :

C'est un journal qui commence le jour de la mort de ses 2 filles jusqu'à la naissance de son fils, 15 mois plus tard.

Ce livre n'est qu'un cri de douleur mais comment cela pourrai être différent. Il est aussi plein d'espoir. Elle explique comment elle survit en se poussant au cul pour sortir tous les week-ends avec son mari. Ils se refusent de rester cloîtrer chez eux. Elle nous explique comment elle passe les anniversaires, Noël, le Nouvel An sans ses étoiles ainsi que la fête des mères.

Elle dit souvent une phrase que je dis souvent " Cela ira tant qu'on est tous les deux." Ils se soutiennent, ils pleurent ensemble mais arrivent à revivre grâce à leur amour.

La seule chose qu'elle concède à son mari c'est de ne plus retourner dans la maison des parents d'Anne-Marie là où où les filles ont péri dans un incendie. Elle n'a pas voulu les voir une dernière fois. Elle voulait les enterrer dans le même cercueil mais la loi ne l'autorise pas. Pourquoi ?

Un livre sur le deuil mais rempli d'espoir.

N'oubliez pas de mettre un détecteur de fumée mais aussi un détecteur de monoxyde de carbone car le monoxyde de carbone ne se sent pas et endort, à jamais, les occupants des lieux.

6 mars 2015

L'homme qui ment de Marc LAVOINE

003363163

Quatrième de couverture :

Communiste et charmeur, cégétiste et volage : tel était Lulu, mon père. Menteur aussi, un peu, beaucoup, passionnément, pour couvrir ses frasques, mais aussi pour rendre la vie plus belle et inattendue.
Lulu avait toujours une grève à organiser ou des affiches à placarder. La nuit venue, il nous embrigadait, ma mère, mon frère et moi, et nous l’aurions suivi au bout du monde en trimballant nos seaux de colle et nos pinceaux. Il nous faisait partager ses rêves, nous étions unis, nous étions heureux.
Évidemment, un jour, les lendemains qui chantent se sont réduits à l’achat d’une nouvelle voiture, et Che Guevara a fini imprimé sur un tee-shirt.
Le clan allait-il survivre à l’érosion de son idéal et aux aventures amoureuses que Lulu avait de plus en plus de mal à cacher ? Collègues, voisines, amies ; brunes, blondes, rousses : ses goûts étaient éclectiques. Lulu était très ouvert d’esprit.
Sans nous en rendre compte, nous avions dansé sur un volcan. L’éruption était inévitable.

Mon avis :

L'histoire du père de MArc LAVOINE mais aussi de sa famille et de la banlieue parisienne des années 60-70, proche de l'aéroport d'Orly à Wissous.

Un morceau de vie de ces années là avec  tout leurs excès, leurs chagrins et leurs non-dits. Son père buvait et trompait sa mère mais à cette époques là cela se faisait dans beaucoup de familles (mais il n'était pas battu). J'ai plus aimé quand il racontait l'histoire de sa mère.

Je m'étais juré que je ne lirai plus d'autobiographie de chanteurs ou d'acteurs sans intérêt mais j'aime Marc Lavoine, j'aime ses chansons et j'aimais bien quand il en parlait alors ma fille me l'a offert pour mon anniversaire (merci) mais je n'ai rien appris de cette époque. Je pense même que Marc Lavoine a eu une enfance heureuse par rapport à d'autres dans les mêmes conditions sociales. Je ne peux pas dire que je n'ai pas aimé mais cela n'a pas était un coup de coeur.

Merci Céline pour ce joli cadeau. J'ai hâte de lire ton avis.

3 mars 2015

Deux gouttes d'eau de Jacques EXPERT

_Expert_Goutte_ExeQuatrième de couverture :

Deux frères, un coupable : une machination infernale.

 

Une jeune femme est retrouvée morte dans son appartement de Boulogne-Billancourt, tuée à coups de hache. Elle s’appelle Élodie et son ami, Antoine Deloye, est identifié sur l’enregistrement d’une caméra de vidéosurveillance de la ville, sortant de chez elle, l’arme du crime à la main. Immédiatement placé en garde à vue, Antoine s’obstine à nier malgré les évidences. Il accuse son frère jumeau, Franck, d’avoir profité de leur ressemblance pour mettre au point une machination destinée à le perdre. Quand Franck Deloye arrive au commissariat central pour être entendu, le trouble est immense : il est impossible de différencier les deux hommes, qui se ressemblent, littéralement, comme deux gouttes d’eau… Le divisionnaire de la PJ en charge de l’enquête, Robert Laforge, un homme réputé pour sa compétence mais aussi son intransigeance et ses éclats incontrôlés, va devoir tirer au clair avec son équipe ce véritable casse-tête. Lequel des deux jumeaux ment, lequel est le bourreau, lequel la victime ?

On retrouve dans ce nouveau roman tout ce qui fait l’univers de Jacques Expert : l’observation sans empathie de personnalités troublées, perverses, abîmées, qui ne savent plus exactement quelles sont les limites de leur identité ou de leur mission, y compris chez les enquêteurs.

Mon avis :

Le dernier livre de Jacques EXPERT et c'est encore une grande réussite. J'ai dévoré ce livre car je voulais vraiment savoir qui est l'assassin. Un suspense jusqu'à la dernière page. J'ai vraiment aimé le retour sur l'enfance des jumeaux car des fois l'enfance peut expliquer certaines choses. Plusieurs suspects apparaissent au fur et à mesure du roman, un vrai jeu du chat et de la souris.

Pour la première fois, Jacques EXPERT ne fait pas jouer aux femmes le mauvais rôle, et même dans ce livre il y a très peu de femmes.

Le jeu du divisionnaire Robert Laforge est grandiose, il m'a fait penser à Lino Ventura dans "Garde à vue".

Ce livre ferait un film remarquable.

Merci Monsieur Jacques EXPERT pour ce merveilleux moment

Merci à Tiphaine pour ce cadeau d'anniversaire.

Publicité
Publicité
Les lectures d'Astrid
Publicité
Archives
Derniers commentaires
Newsletter
Visiteurs
Depuis la création 63 994
Publicité