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Les lectures d'Astrid

12 mai 2012

Titeuf : l'amour c'est pô propre (tome 2)

Tome02Résumé pris sur le site Amazon :

C'est pô vrai ? Vous connaissez pô Titeuf ? C'est nul, ça. Méganul, même. J'sais pô, moi, faites un effort, quand même. Avec sa bouille toute ronde et sa touffe blonde dressée sur le crâne, c'est un héros moderne des cours de récré. À la fois naïf, plein d'enthousiasme et gentil comme tout. Il tente désespérément de percer les mystères de la création, comme les filles ou le monde des adultes. Pas facile. Surtout le jour où une petite soeur débarque à la maison. Bon, Titeuf fait tout de même des efforts. D'ailleurs, lui aussi a eu sa part de contractions - mais c'était juste parce qu'il s'était gavé de chips pendant que ses parents étaient partis à l'hôpital... Son créateur, Zep, dit de lui qu'il a "les baskets sur terre". "Grand du dedans et petit à l'extérieur", comme tous les gosses de huit ans. C'est-à-dire déjà lucide sur le monde qui l'entoure, même si certaines choses lui échappent encore un peu. Une série franchement drôle, des dialogues hilarants : une bonne bouffée de souvenirs d'enfance.



Mon avis :

Comme toujours, vous me connaissez bien maintenant, j'ai aimé beaucoup cet album de Titeuf. Dans ce livre, j'ai rigolé plus que dans les autres BD de Titeuf.
J'ai adoré la dernière planche où le Petit Prince (de Saint Exupéry) est revisité à la mode du XXIème siècle.

En lisant Titeuf, nous nous rendons compte que l'on peut pleins d'âneries quand on a 10 ans pour se faire valoir auprès des autres personnes. Les enfants d'une dizaine d'années sont sans concession entre eux mais ce n'est pas vraiment conscient.

Lisez-le et vous passerez un bon moment. Merci Monsieur Zep et continuez comme cela.

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1 mai 2012

Mardi sur son 31 (4)

C'est ma quatrième participation. Ce défi est proposé par Sophie

Donc je vous livre une phrase de la page 31 du livre que je lis en ce moment :

"J'ai dîné hier avec l'Anglais, que je n'avais pas ni rappelé ni revu depuis trois semaines"

Extrait de la page 31 (page où je me suis arrêtée hier) du livre "Les menottes et le radiateur" d'Alexandra LAPIERRE.

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Je vous souhaite un très bon mois de mai rempli de soleil.

26 avril 2012

Love, friendship et autres complications de DIGLEE

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Présentation de l'éditeur :

Pour toutes les nanas, lookées, pas lookées, fi-filles ou garçons manqués, teenages branchées ou adulescentes qui s'ignorent, pour celles qui pleurent devant Twilight autant que pour celles qui se marrent devant Massacre à la tronçonneuse : big up !

Mon avis :

C'est l'histoire de 3 filles Chloé, Chrytelle et Marion.

Marion veut être styliste
Chloé préfère son chat aux mecs
Chrystelle veut être médecin ou avocate ou écrivain ou ....

Elles se racontent de manièère amusante et cela fait un bien fou. Un livre pour adolescent ou même adulescent.

J'ai lu cette BD (qui appartient à ma fille) en novezmbre 2011 mais j'en souris encore.

24 avril 2012

Mardi sur son 31 (3)

Un grand bonjour de Paris où je squatte l'ordinateur de ma fille pour faire mon billet.Il fait très beau, nous avons un superbe soleil (on peut toujours y croire).

Une phrase de la page 31 du livre "L'étrange disparition d'Esme Lennox" de Maggie O'FARRELL

"Quand Luke alla aux toilettes, Alex s'appuya au dossier de sa chaise, alluma une cigarette, inspecta du regard la cuisine, ôta des cendres tombées sur la table, rectifia son col."

La semaine dernière je pensais à Lystig et cette semaine c'est Alex qui se reconnaîtra.

Je répondrai à vos commentaires la semaine prochaine quand je serai revenue dans mon superbe village.

 

 

 

23 avril 2012

Les cahiers d'Arthur Colombier

9782748149821

Résumé :

Depuis son hypothétique futur, Arthur veut revivre chaque instant de sa vie, afin de comprendre leur enchaînement. Entre Octave, l’oncle espiègle, Bernard, le pilote visionnaire, Adrien, le religieux cartésien, et Agathe, la tante aux parfums ésotériques, à travers leurs échanges où passé et présent, réalité et fiction s’emmêlent, Arthur crayonne une mythologie nouvelle.

Pourquoi j'ai abandonné celle lecture :

Je n'ai rien compris à l'histoire. Je ne dois pas être faite pour la science fiction.

Anecdote à propos du livre :

C'est ma soeur qui me l'a donné car elle l'a trouvé dans sa ville et elle ne voulait pas le lire. Comme je ne suis pas rentrée dans l'histoire, je me suis dit "Vends-le" au moins cela fera plaisir à quelqu'un. Je l'ai mis en vente sur AMazon au prix de 12 euros (j'étais certaine de ne pas le vendre à ce prix). Je l'ai vendu et le comble c'est que ce soit l'auteur lui-même qui me l'a racheté. Je n'ai toujours pas compris pourquoi. S'il passe sur ce blog j'aimerai avoir la réponse.

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20 avril 2012

Adieu

4176tyf6prLQuatrième de couverture :

2001, Châtenay-Malabry. Une mère, son fils et sa fille sont retrouvés assassinés à leur domicile. Une famille apparemment sans histoires. Le père est porté disparu. Est-il lui aussi victime ou bien coupable ? Les recherches s'organisent, sous la direction du commissaire Langelier. Un mois plus tard jour pour jour, c'est au tour d'une seconde famille, tout aussi ordinaire, d'être abattue dans des circonstances identiques. Là aussi le père est introuvable. Presse, politiques, police, les avis sont unanimes, un tueur en série est à l'oeuvre. Seul Langelier s'entête à concentrer tous ses efforts sur la piste des pères, qu'il soupçonne d'être à l'origine des massacres. Devant son obstination et son manque de résultats, son supérieur et ami, le commissaire Ferracci, est obligé de lui retirer l'affaire. Commence alors entre les deux hommes un combat larvé, chacun s'efforçant de démontrer sa propre vérité, un combat qui tourne bientôt à l'obsession et qui ne prendra fin que dix ans plus tard avec la révélation d'une incroyable réalité. Comme dans ses trois précédents romans, Jacques Expert met en scène avec maestria le quotidien de personnages en apparence ordinaires mais dont la face cachée révèle d'insoupçonnables noirceurs.

Mon avis :

Tout d'abord je remercie sincèrement Laure pour le prêt de ce livre.

Un petit bémol concerant le début de ce livre car il y a une non-concordance de temps, il y a la découverte des corps le 20/02/2001 et ils retrouvent la voiture du père (soupçonné) le 20/01/2001, je l'ai relu plusieurs fois ce passage et l'erreur existe bien.

A part ce petit bémol, je me suis fait happée par l'histoire de ce flic qui veut absolument retrouvé les assassins des familles. Il veut prouver qu'il a raison et il met tout en oeuvre pour le prouver.
Ce livre est presque un monologue de ce commissaire le soir de son départ à la retratie. Il explique pas à pas son enquête qui a duré 10 ans où il a tout sacrifié (sa carrière, sa famille, etc...)
Peut-on tout faire pour démontrer que l'on a raison ?
Peut-on se contenter du coupable idéal ?
Ce livre ne répond pas à ces questions, c'est au lecteur de se faire sa propre opinion.
Jacques Expert arrive toujours à nous montrer le côté noir (voire très noir) de l'être humain.
Ce qui a changé dans ce livre par rapport à ces autres livres c'est que les femmes n'ont pas le mauvais rôle.
Gérard Collard en avait parlé au magazine de la santé sur France 5 comme un polar hors du commun et je suis tout à fait d'accord avezc lui. La descente aux enfers est vraiment très bien décrite. La manipulation des personnages est sans faille. Je me me doutais absolument de la fin qui est vraiment surprenante.

Merci Monsieur EXPERT pour ce merveilleux roman et j'ai hâte que vous en ressortiez un autre.

18 avril 2012

Qu'il était beau mon Meccano

9782755501261FSQuatrième de couverture :

« Ne ressentez-vous pas,  parfois le besoin de recenser, d'évoquer, de ressusciter des objets aujourd'hui disparus et qui pourtant ont existé, là, entre vos mains, sur l'étagère, dans le jardin, au coin de la rue, absolument familiers, utiles, amusants et que l'on jugeait indispensables? Jusqu'au jour où on ne les a plus vus ? Pfuit ! Il y en avait, il n'y en a plus. C'est peut-être cela, l'Histoire, ou sa menue monnaie, notre histoire, la mienne, la vôtre. Les objets et les pratiques qui vont avec, qui ont leur fantaisie propre : on faisait ceci, on ne le fait plus. Tout est lié, les trucs et les machins, les choses et les bidules, dans le grand bazar du dernier demi-siècle, traversé à la vitesse d'un mascaret par le progrès et les innovations. Que laisse-t-il sur la grève du souvenir ? Le berlingot Dop, le transistor, le moulin à café, la Nénette, l'anti-monte-lait, la petite Calor, le slip Kangourou, les images de chocolat?»

À travers 21 choses désuètes, Jacques Gaillard fait son inventaire d'une époque qui nous est déjà lointaine mais que notre « impalpable petite nostalgie » continue de faire vivre en nous. Qu'il était beau mon Meccano est un recueil d'éloges et évocations littéraires, sensibles et humoristiques, dans la meilleure veine de l'écrivain.

Mon avis :

J'ai vriament adoré ce livre. Je me suis replongée dans mon enfance avec des petits souvenirs, forcément je n'ai pas tout connu car je n'ai que 45 ans mais je suis certaine que les plus de 50 ans se plongeraient dans ce livre avec délice en se disant "c'était mieux avant". Je vous mets la liste des 21 choses sont décrites dans ce livre (et je vous mets même les photos). Je vous souhaite un bon voyage dans Les années 50 et 60 :

  1. L'anti-monte-lait : je l'ai connu car j'habitais à la campagne.ANTI MONTE LAIT
  2. Le berlingot Dop : Je n'ai pas connu.dop1
  3. L'oeuf mimosa : J'en fais encore quelques fois.oeufs_mimosa_crabe
  4. Les images de chocolat : J'ai connu plus les images de la Caisse d'Epargne.IMages Chocolat
  5. Les dixièmes de la Loterie Nationale : Je n'ai pas connu mais j'ai connu le lancement du loto.Dixiemes
  6. Rintintin : A la télévision ce fut la grande folie.Rintintin
  7. La cuti-réaction : Je l'ai eu.Cuti réaction
  8. La "Nénette" : Je ne connais pas, ce n'est que pour les hommes.nenette polish duster
  9. Le Meccano : Encore pour les garçons.Cat_Meccano1956_50pc
  10. Les beaux buvards : J'en ai utilisé car j'ai appris à écrire à la plume.Buvard
  11. L'Isetta : C'est une voiture.isetta_mainIsetta_ouv-520x464
  12. Les oreillons : Encore pour les garçons.naitre-grandir-sante-enfant-joue-enflee-oreillon-RRO-1
  13. Le transistor : Qui ne l'a pas connu. copie-transistor-sixties
  14. La laisse pour enfants : Une horreur à mes yeux.laisse-pour-enfant-creche
  15. Le cyclorameur : Un engin bizarre.cyclorameur-gamme-tricycles
  16. La petite Calor : Je m'en suis servie quand je me suis installée avec mon mari.
  17. La brique chauffe-lit : J'avais la mêmebrique_vernissee_mancelle_chauffeuse_(pour_lit)
  18. Le slip Kangourou : A mourir de rire.slip_k10
  19. Le moulin à café : Je vous en mets deux photos et j'ai connu les deux (grâce à ma grand-mère)peugeot-21674me0000055789_3
  20. Le silence : Cela n'existe ratiquement plus.silence
  21. L'Adagio d'Albinoni : Nous écoutions beaucoup cette musique dans les années 60, souvenez-vous !

 

J'espère que ce billet vous a transporté dans les années 50-60.

Je vous souhaite un bon atterissage.

17 avril 2012

Mardi sur son 31 (2)

C'est ma deuxième participation Ce défi est proposé par Sophie

Donc je vous livre une phrase de la page 31 du livre que je lis en ce moment :

"Monsieur Johnny Burgoyne, né en 1722, est mort en 1792. C'était un général britannique durant la révolution. Il s'est retrouvé cerné par nos troupes à Saratoga le 17 octobre 1777. C'a été la première grande victoire américaine et une bataille décisive."
(Elle doit bien te titiller cette phrase Lystig, je l'ai choisie en pensant à toi).

Extrait de la page 31 du livre "Seul le silence" de R.J. ELLORY. Un pavé de 601 pages (livre de poche) mais très intéressant et très prenant. Je le lis pour une lecture commune (9 mai 2012) mais je ne sais plus qui l'organise. Si une personne peut me rafraichir la mémoire, je la remercie d'avance.

 

logo-mardi-31Je vous souhaite une excellente journée remplie de délicieuses lectures.

La semaine pas de "Mardi sur son 31" car je serai chez ma fille à Paris.

15 avril 2012

Contes du jour et de la nuit

R150073659Quatrième de couverture :

Parricides, ivrognes, enfants pervers, maris aveugles, ravissantes idiotes, bourgeois lâches et mesquins, paysans cruels et cupides, vous ne trouverez dans ces contes, de jour comme de nuit, que bourreaux et victimes.

Mais s'ils sont tous à tuer, ils tuent aussi beaucoup, ou se pendent, ou se tirent à la rigueur un coup de revolver dans la bouche par peur de la mort...

Maupassant serait-il le grand ancêtre méconnu du néo-polar ?

 

 

 

 

 

Mon avis :

Ce livre a été lu dans le cadre du challenge de Calypso "Un mot, des titres" et pour aujourd'hui il fallait lire un livre avec dans le titre le mot "Jour". Avant de vous dire ce que j'en ai pensé je vous fait un résumé des 21 nouvelles :

  1. Le crime au père Boniface : Un facteur témoin d'un meutre, il faut se méfier de ce que l'onentent. Très drôle.
  2. Rose : Histoire d'une femme de chambre parfaite. Etonnant.
  3. Le père : Histoire éternet d'un homme qui a peur de la parternité. C'est encore réaliste aujourd'hui.
  4. L'aveu : L'avarice n'amène jamais rien de bon.
  5. La parure : J'ai vu son adaptation sur France 2 et cette histoire m'a beaucoup touché. La nouvelle est bien mais comme je connaissais la fin, cela était moins prenant.
  6. Le bonheur : Une grande nouvelle : Le bonheur existe.
  7. Le vieux : Quand un vieux ne veut pas mourir, que faire ?
  8. Un lâche : Il faut toujours s'occuper de ses affaireset laissez aux autres leurs propres affaires.
  9. L'ivrogne : Les ravages de l'alcool, terrible.
  10. Une vendetta : La vengeance est un plat qui se mange froid (et moi je dis qu'il se mange même glacé, c'est meilleur)
  11. Coco : La haine envers les aniamux existent, même ilos ne peuvent pas se plaindre.
  12. La main : Encore une histoire de vengeance.
  13. Le gueux : Que peut-on faire quand on est rejeté à cause de son infirmité ?
  14. Un parricide : Peut-on être abandonné 2 fois par les mêmes parents ?
  15. Le petit : Comment réagir quuand on apprends que l'on a été trompé par la femme sa vie, qui est morte maintenant ?
  16. La roche aux guillemots : Tout est bon pour ne pas rater la chasse et tout peut attendre (même les morts)
  17. Tombouctou : La guerre entre français et prussine, que manger quand il n'y a plus rien sauf les morts ?
  18. Histoire vraie : L'histoire d'un amour impossible entre un noblre et sa domestique.
  19. Adieu : Comment vit-on la vieillesse ?
  20. Souvenir : Nous pouvons rencontrer l'amour n'importe quand et n'importe où
  21. La confession : Jusqu'où la jalousie peut anemer à faire, c'est terrible.

J'ai lu beaucoup de livres de Maupassant, il y en a que j'ai aimé, d'autres pas du tout comme Bel-Ami. Ce recueil de nouvelles me laisse perplexe, j'ai moins aimé, j'ai eu du mal avec certaines et j'étais ravie avec d'autres. Ce livre ne va poas me laisser un souvenir impérissable.

 Un-mot-des-titres

12 avril 2012

Le jeu de la vérité

51lum5W4X4LQuatrième de couverture :

Qui est qui ? Question entêtante pour une enquête casse-tête : le squelette d’une certaine Alexandra Tynedale – riche héritière des brasseries du même nom – a été découvert sous les vestiges d’un pub londonien détruit lors du Blitz de 1940. À ses côtés, les restes non identifiés d’un nourrisson. Est-ce Maisie, la fille de la défunte ? Impossible, elle est encore en vie aujourd’hui. À moins que ce ne soit Erin, la fillette de la nurse de la famille Tynedale ?
Un héritage colossal étant en jeu dans cette ronde des identités, le commissaire Richard Jury est prêt à explorer bien des pistes. Et il va user de son atout majeur – l’inénarrable châtelain-détective Melrose Plant –, en l’envoyant jouer les jardiniers dans un manoir le temps d’une étrange partie de Cluedo® grandeur nature…

 

 

 

Le pourquoi de mon abandon :

J'ai d'abord fait un arrêt à la page 66 car je le trouvais saoulant, trop de descriptions et pas assez de suspense. Je l'ai repris quelques jous plus tard mais je ne l'ai lu que jusqu'à la page 82. Trop de bla-bla pour ne rien dire comme expliquer qu'une personne prend un escabeau, le place sur le sur, etc... tout cela pour changer d'ampoule. Je n'en vois pas l'intérêt.
Je ne vaux plus me forcer à lire des livres qui ne me plaisent pas donc je l'abandonne sans aucun regret.

Si ce livre intéresse l'un d'entre vous, je vous le donne avec plaisir.

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