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Les lectures d'Astrid

4 septembre 2010

La vengeance du wombat

La vengeance du wombat et autres histoires du bush (nouvelles)

écrit par Kenneth Cook

Quatrième de couverture :

"Wombats sur ma gauche, wombats sur ma droite : tous piétinaient et grognaient. Planté parmi eux au clair de lune, immense, le corps flasque et hardi, le filet dans une main, la seringue dans l'autre, j'attendais le wombat qui m'intéressait. [...]
Avec l'aisance du geste entraîné, je lui lançai le filet sur le corps. Il le déchiqueta en moins de deux secondes. [...] Comment étais-je censé m'y prendre à partir de là?
Je n'eus pas le temps de me décider. Le wombat s'approcha de moi en poussant un grognement meurtrier, avec la ferme intention d'anéantir tous les mythes sur le caractère inoffensif et herbivore des wombats."

Une rencontre dans un bar, quelques bières fraîches, un rien de faiblesse, et voilà Kenneth Cook, écrivain d'âge mûr "en léger surpoids", embarqué dans d'incroyables aventures où la faune humaine et animale du bush joue le premier rôle. Kangourou suicidaire, koalas explosifs, wombats vindicatifs, reptiles dérangés, chercheurs d'opales amateurs de paris stupides, Aborigènes roublards : ils finissent toujours par contrarier son penchant naturel pour le confort. Heureusement, car Cook en tire une brassée d'histoires plus vraies que nature, racontées avec un art consommé du gag, dans toute leur improbable hilarité.

Mon avis :

Je remercie tout d'abord Dasola de m'avoir prêté ce livre. J'ai lu 5 nouvelles mais elles ne m'ont pas du tout fait rire. J'ai même trouvé ces histoires très tristes car, à mon avis, elles ne parlent que de la façon que les gens sont prêts à faire pour de l'argent. Je l'ai abandonné car cela devenait trop difficile de lire une sixième histoire. J'ai le plaisir de vous mettre le lien du blog de Dasola.http://dasola.canalblog.com/archives/2010/02/21/16974997.html

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2 septembre 2010

Le destin miraculeux d'Edgar Mint

51C1WYA431LQuatrième de couverture :

"Si je devais ramener ma vie à un seul fait, voici ce que je dirais : j'avais 7 ans quand le facteur m'a roulé sur la tête. Aucun événement n'aura été plus formateur. Mon existence chaotique, tortueuse, mon cerveau malade et ma foi en Dieu, mes empoignades avec les joies et les peines, tout cela, d'une manière ou d'une autre, découle de cet instant, où, un matin d'été, la roue arrière gauche de la Jeep de la poste a écrasé ma tête d'enfant contre le gravier brûlant de la réserve apache de San Carlos."

Edgar Mint pourrait être aux années 2000 ce que Garp fut aux années 1980. Après "Lâchons les chiens", Brady Udall s'impose, avec ce roman inclassable et génial, comme une des grandes révélations de la littérature américaine contemporaine.

Mon avis :

Ce livre est découpé en 4 parties et les 4 parties ce sont les lieux où Edgar Mint a vécu plus ou moins longtemps. Tout d'abord "Sainte Divine", c'est l'hôpital où il a survécu miraculeusement, une période heureuse pour lui. En second lieu c'est "Willie Sherman", le pensionnet où il va après son hospitalisation et là il apprend la vraie vie, les tabassages en règle et tout ce qui va avec. Le troisième lieu est "Richland" je ne peux pas vous dire pourquoi il y est mais il est très heureux dans cette partie du livre. Puis la fin "Stony Run" où l'on comprend toute l'histoire d'Edgar Mint.
Pour moi ce fut une belle lecture, pas un coup de coeur, mais j'ai bien aimé, je voulais faire une pause après la deuxième parite mais à la fin de ce châpitre je voulais savoir la suite de la vie de ce garçon.

Une lecture commune avec Yspadden, c'est la première fois que je fais une lecture commune avec une bloggueuse et je suis certaine de renouveler cela.

30 août 2010

Les cavaliers du subjonctif

samedi 23 février 2008

Les cavaliers du subjonctif

Sans_titre

Quatrième de couverture :

Il y a ceux qui veulent gendarmer le langage et le mettre à leur botte, comme le terrible Nécrole, dictateur de l'archipel des mots, et la revêche Mme Jargonos, l'inspectrice dont le seul idéal d'"appliquer le programme". Et puis il y a ceux qui ne l'entendent pas de cette oreille, comme Jeanne et Thomas, bientôt traqués par la police comme e dangereux opposants....

Leur fuite les conduira sur l'île du Subjonctif. Une île de rebelles et d'insoumis. Carl e subjonctif est le mode du désir, de l'attente, de l'imaginaire. Du monde qu'il devrait être....

Après l'immense succès de "La grammaire est une chanson douce", Erik Orsenna, académicien hors norùe, poursuit son combat en faveur de la langue, non pas en "magister", mais en poète, en homme épris des mots et des vastes horizons qu'ils nous ouvrent.

Ce conte enchanté n'est pas juste un joli livre, mais aussi une bonne action.

Je le conseille à tous les allergiques de la conjugaison car dans ce livre, elle est expliquée clairement.

27 août 2010

La grammaire est une chanson douce

vendredi 15 février 2008

La grammaire est une chanson douce
d'Erik Orsenna

9782253149101

Ce livre est un enchantement, j'ai adoré. C'est un écrit doux, pleins de poésie. C'est un hymne à l'amour des mots, de toutes les langues du monde. Je ne peux faire de résumé car c'est un livre d'à peine 140 pages avec des illustrations, je peux simplement vous dire que c'est l'histoire d'un frère et d'une soeur échoué sur une île et ils ne peuvelt plus dire un mot.. Ils sont recueillis par Monsieur Henri et ils vont découvrir l'île aux mots.

Je pense que ce livre devrait être étudié dans toutes les écoles primaires pour faire connaître l'importance de l'orthographe, de la grammaire dans notre vie de tous les jours.

23 août 2010

Le cercle littéraire des amateurs d'épluchures de patates

51KCLqLYGNLécrit par Mary Ann Shaffer et Annie Barrows

Quatrième de couverture :

"Je me demande comment cet ouvrage est arrivé à Guernesey. Peut-être les livres possèdent-ils un instinct de préservation qui les guide jusqu'à leur lecteur idéal..."

Janvier 1946. Londres se relève douloureusement des drames de la Seconde Guerre mondiale et Juliet, jeune écrivaine anglaise, est à la recherche du sujet de son prochain roman. Comment pourrait-elle imaginer que la lettre d'un inconnu, un natif de l'île de Guernesey, va le lui fournir ? Au fil de ses échanges avec son nouveau correspondant, Juliet pénètre son monde et celui de ses amis - un monde insoupçonné, délicieusement excentrique. Celui d'un club de lecture créé pendant la guerre pour échapper aux foudres d'une patrouille allemande un soir où, bravant le couvre-feu, ses membres venaient de déguster un cochon grillé (et une tourte aux épluchures de patates...) délices bien évidemment strictement prohibés par l'occupant. Jamais à court d'imagination, le Cercle littéraire des amateurs d'épluchures de patates déborde de charme, de drôlerie, de tendresse, d'humanité Juliet est conquise. Peu à peu, elle élargit sa correspondance avec plusieurs membres du Cercle et même d'autres habitants de Guernesey , découvrant l'histoire de l'île, les goûts (littéraires et autres) de chacun, l'impact de l'Occupation allemande sur leurs vies... Jusqu'au jour où elle comprend qu'elle tient avec le Cercle le sujet de son prochain roman. Alors elle répond à l'invitation chaleureuse de ses nouveaux amis et se rend à Guernesey. Ce qu'elle va trouver là-bas changera sa vie à jamais.

Mon avis :

J'ai lu ce roman en mars de cette année et je m'en souviens encore très bien, c'est dire qu'il m'a marqué. Ce livre décrit très bien les problèmes de la guerre sur une île coupée du monde. Nous suivons l'hsitoire de ces gens avec passion. J'ai vraiment trouvé ce livre très agréable à vivre. Beaucoup d'entre vous l'ont lu et l'ont trouvé très bien et je me range du côté de vos billets.

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20 août 2010

L'attentat

9782266162692

Quatrième de couverture :

Dans un restaurant de Tel Aviv, une jeune femme se fait exploser au milieu de dizaines de clients. A l'hôpital, le docteur Amine, chirurgien israélien d'origine arabe, opère à la chaîne les survivants de l'attentat. Dans la nuit qui suit le carnage, on le rappelle d'urgence pour examiner le corps déchiqueté de la kamikaze. Le sol se dérobe alors osus es pieds : il s'agit de sa propre femme.
Comment admettre l'impossible, comprendre l'inimaginable, découvrir que l'on a partagé, des années durant, la vie et l'intimité d'une personne dont on ignorait l'essentiel ? Pour savoir, il faut entrer dans la haine, le sang et le combat désespéré du peuple palestinien...

"Yasmina Khadra, spécialiste de romans sur fond de terrosrisme (...), déploie son talent de conteur pour dresser le tableau saisissant d'un pays rongé par la terreur."
Mohammed Aïssaoui - Le Figaro

Mon avis :

J'ai lu, il a quelques mois, les hirodelles de Kaboul et ce livre est le deuxième d'une trilogie (le troisième est les sirènes de Bagdad). J'ai préféré le premier car j'ai trouvé celui-là un peu long. Je me suis demandé pendant la moitié du livre ce qu'il voulait faire Amine. C'est quand il se rend en Palestine que j'ai trouvé l'histoire très intéressante et j'ai appris bbeaucoup de choses que la guerre isralo-palestinienne. Yasmina Khadra ne jjuge pas, ne donne pas son avis sur cette tragédie car dans les deux camps ils ont de bonnes raisons de faire la guerre (enfin si il y a de bonnes raisons pour faire la guerre). Malheureusement cette tragédie n'est pas prête de se terminer. Lisez-le et vous apprendrez beaucoup de choses qu'ils ne sont jamais dites dans les journaux nationaux.

18 août 2010

Conversation

Conversation

Le porte monnaie :

  • Je suis d'une incontestable utilité c'est un fait

Le porte-parapluie

  • D'accord mais tout de même il faut bien reconnaître
    Que si je n'existais pas il faudrait m'inventer

Le porte-drapeau :

  • Moi je me passe de commentaires
    Je suis modeste et je me tais
    D'ailleurs je n'ai pas le droit de parler

Le porte-bonheur :

  • Moi je porte bonheur parce que c'est mon métier

Les trois autres (hochant la tête)

  • Jolie mentalité

Jacques Prévert (Paroles)

15 août 2010

L'embrasement

51Sz1tpc2oLHunger Games : l'embrasement
                                      Ecrit par Suzanne COLLNS

Résumé éditeur :

Après le succès des derniers Hunger Games, le peuple de Panem est impatient de retrouver Katniss et Peeta pour la Tournée de la victoire. Mais pour Katniss, il s'agit surtout d'une tournée de la dernière chance. Celle qui a osé défier le Capitole est devenue le symbole d'une rébellion qui pourrait bien embraser Panem. Si elle échoue à ramener le calme dans les districts, le président Snow n'hésitera pas à noyer dans le sang le feu de la révolte. A l'aube des Jeux de l'Expiation, le piège du Capitole se referme sur Katniss...

Mon avis:

J'avais hâte de lire le deuxième tome de cette trilogie et je n'ai vraiment pas été déçue. Que de suspense et de rebondissements !!! Des bloggueurs ont moins aimé que le premier mais pas moi. J'ai hâte de lire le troisième mais malheureusement il ne sort qu'en mai 2011, que cela va être long.
Je remercie Alapage pour cet envoi

11 août 2010

Familiale

FAMILIALE

La mère fait du tricot
Le fils fait la guerre
Elle trouve ça tout naturel la mère
Et le père qu'est ce qu'il fait le père ?
Il fait des affaires
Sa femme fait du tricot
Son fils fait la guerre
Lui des affaires
Il trouve ça tout naturel le père
Et le fils et le fils
Qu'est ce qu'il trouve le fils ?
Il ne trouve rien absolument rien le fils
Le fils sa mère fait du tricot son père des affaires lui la guerre
Quand il aura fini la guerre
Il fera des affaires avec son père
La guerre continue la mère continue elle tricote
Le père continue il fait des affaires
Le fils est tué il ne continue plus
Le père et la mère vont au cimetière
Ils trouvent ça tout naturel le père et la mère
La vie continue la vie avec le tricot la guerre les affaires
Les affaires la guerre le tricot la guerre
Les affaires les affaires et les affaires
La vie avec le cimetière.

7 août 2010

Cinq matins de trop

"Voilà une caractéristique bien particulière des gens de l'Ouest, songea Grant. Tu peux coucher avec leurs femmes, spolier leurs filles, vivre à leurs crochets, les escroquer, faire presque tout ce qui te frapperait d'ostracisme dans une société normale ils n'y prêtent guère attention. Mais refuser de boire un coup avec eux et tu passes immédiatement dans le camp des ennemis mortels. Et merde, à quoi bon ? Il ne voulait même plus penser à l'Ouest, à ses habitants et à leurs manies. Laissons-les tranquilles. Une fois à Sydney, qui sait, il ne remettrait peut-être plus jamais les pieds ici."

Jeune instituteur planté au fin fond de l'Outback, cœur de l'Australie, John Grant doit passer la nuit à Bundanyabba avant de prendre l'avion pour des vacances à Sydney. Il dépose ses valises à l'hôtel, va boire un verre et jouer dans l'un des nombreux pubs de cette petite ville surchauffée et poussiéreuse, où tout le monde s'ennuie... Thriller atypique, à la fois initiatique et nihiliste, Cinq matins de trop nous transporte dans le cauchemar éveillé d'un homme ordinaire, autant acteur que spectateur, petit à petit enchaîné à l'alcool, au jeu, au sexe, à la violence, à l'autodestruction.

Mon avis :

Ce livre m'a été prêté par Dasola et je l'en remercie de tout coeur. J'ai passé un très bon moment avec cette descente aux enfers de John Grant. Tout le long du livre on se demande jusqu'où peut'il aller ? La fin m'a surprise.
Ce livre m'a beaucoup touché car d'une part je suis une très grande joueuse (mon mari refuse que j'entre dans un casino et il a raison) et d'autre part la fin et ce que je ressens aussi depuis un certain jour de 2003. En un mot je ne peux que dire que la vie est jolie et qu'il faut la vivre pleinement même avec ses erreurs.

Une recommandation : allez sur le blog de Dasola, vous ne serez pas déçus.

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