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Les lectures d'Astrid

25 janvier 2010

La bête et la belle

La belle et la bête
de Thierry Jonquet

Quatrième de couverture

Léon est vieux. Très vieux. Léon, est moche. Très moche. Léon est sale. Vraiment très sale ! Léon se tient très mal à table. C'est dans sa nature... C'est triste ? Non : Léon a enfin trouvé un ami, un vrai de vrai ! Seulement voilà, le copain en question est un peu dérangé. Parfois dangereusement. Mais Léon est indulgent envers ses amis. Pas vous ?

Mon avis :

Je remercie encore une fois Dasola pour ce prêt de ce livre. Je l'ai lu en une soirée tellement que j'ai été prise par l'histoire. La longue descente aux enfers du héros est décrit magnifiquement bien grâce à Léon. La fin est époustouflante. En sachant la fin, je me suis dis "que je suis bête, c'est tellement évident".

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23 janvier 2010

Dead Zone

9782253035268Quatrième de couverture :

Greg Stillson, candidat à la Maison-Blanche, est un fou criminel, grand admirateur d'Hitler et d'autres maniaques de l'extermination. Quand il sera élu, ce sera l'Apocalypse. Un seul homme le sait : John Smith, car il est doué d'un étrange pouvoir qui lui attire pas mal d'ennuis, il devine l'avenir. Il n'y a rien de réjouissant à cela. Il peut prévoir les accidents, les catastrophes, les hécatombes. On ne le croit pas, ou alors on le croit trop. John Smith n'a encore rien dit de ses prémonitions. Pourtant, le candidat à la présidence des Etats-Unis est un dément. Que fera John Smith pour son pays ?

Mon avis :

Un de nos lecteurs de la bibliothèque m'a prêté ce livre en me disant qu'il me plairait c'est certain. Nous adorons tous les deux Stephen King. En effet j'ai beaucoup aimé ce livre. Je le trouve différent des autrescar ce livre ne se termine pas de la façon que je croyais. Il y avraiment beaucoup de suspense et la psychologie des personnages est astucieusement mise en place. Encore un livre de King que je vous conseille, n'hésitez pas à le lire.

21 janvier 2010

Meurtres pour mémoire

Meutres pour mémoire

de Didier DAENINCKX

Paris, octobre 1961 : pendant que des milliers de manifestants algériens se font matraquer - et, pour certains, massacrer - par les forces de l'ordre, Roger Thiraud est abattu par un CRS.
Toulouse, 1982 : Bernard Thiraud, fils du défunt, est tué à la sortie de la préfecture où il compulsait des documents.
Fraîchement nommé dans la Ville Rose, l'inspecteur Cadin a du pain sur la planche d'autant que les situationnistes font tourner la mairie en bourrique. Progressivement il va établir un lien entre ces morts que séparent deux décennies : les Thiraud, tous deux enseignants, se passionnaient pour l'histoire de leur ville natale, Drancy.

Même s'il n'est jamais mentionné, la trame met en cause l'ancien préfet de la Gironde, Maurice Papon. Quinze ans avant son procès interminable, Daeninckx pointait le zèle aveugle de ce haut fonctionnaire. L'auteur, soigneusement documenté, a su inclure ces faits historiques dans un roman bien charpenté, qui reste sûrement l'une de ses plus belles réussites. --Nicolas Mesplède

Quatrième de couverture :

Paris, octobre 1961 : à Richelieu-Drouot, la police s'oppose à des Algériens en colère. Thiraud, un petit prof d'histoire, a le tort de passer trop près de la manifestation qui fit des centaines de victimes. Cette mort ne serait jamais sortie de l'ombre si, vingt ans plus tard, un second Thiraud, le fils, ne s'était fait truffer de plomb, à Toulouse.

Mon avis :

J'ai emprunté ce livre à la bibliothèque sans savoir à quoi m'attendre. J'ai commencé à le lire. Je suis restée perpelxe sur l'histoire. Un massacre de cette ampleur nous en aurions entendu parler par nos profs d'histoire. Je me suis dis il a une sacrée imagination cet auteur. Puis je me suis rendue sur Internet car cela me tracassait beaucoup et malheureusement j'ai découvert que c'est une histoire vraie, il y a bien eu des algériens tués, massacrés, noyés le 17 octobre 1961 et tout cela ordonné par Maurice Papon, préfet de Paris, j'en ai eu la nausée. J'ai lu ce livre d'une traite et je pense qu'il devrait vraiment être étudié dans les collèges et même les lycées. Je me pose une question " Pourquoi ne parle-t-on jamais de la guerre d'Algérie et de tout ce qui en découle ?" Je voudrai avoir une réponse, si quelqu'un pouvait me la donner. Vous l'avez deviné j'ai adoré ce policier car nous apprenons beaucoup de choses sur notre histoire pas si lointaine que ça. Un conseil : LISEZ-LE

19 janvier 2010

Mères et filles

Ces 20 nouvelles ont été sélectionnées parmi plus de 1 000 reçues au terme d'un concours initié par Comptoir des Cotonniers en partenariat avec le magazine ELLE. Ecrites par des femmes de toute génération, elles évoquent le lien entre mère et fille, singulier et universel, chaotique parfois tendre ou passionnel. L'ensemble offre une farandole de textes aux tons et aux univers multicolores. Un recueil aussi vivant que séduisant.

Résumé des 20 nouvelles :

  1. Profession absente de Nelly BUFFON. Très belle histoire sur le pourquoi du départ d'une maman

  2. Pamplemousse de Camillle de CASTELNAU. Difficulté entre une adolescente et sa mère

  3. Récupération d'Emmanuelle COSSO-MERAD. Mort d'une maman, comment vivre après

  4. Une nuit sans lune d'Eléma DIVINE. Histoire sur le mariage forcé

  5. Chèques obsèques de Marie-Laure FERREYRA. La révolte d'une mère à son 70ème anniversaire

  6. Mémé,maman et moi de Stéphanie FLATEAU. Mort d'une mamie "abandonnée" durant la canicule de 2003

  7. La miette sur le gâteau de Valérie FRANCOIS. L'histoire d'une fille qui n'arrivep as à couper le cordon ombilical avec sa mère

  8. Mon chou de Michèle GATO. Le rêve d'une fille qui ne veut pas ressembler à sa "docteur" de mère.

  9. Chère maman d'Isabelle IZARD. Une fille écrasée par l'amour de sa mère

  10. MAter incolora de Corrine JAMAR. La découverte de l'amour d'une mère à sa fille lors de l'accident de sa fille

  11. La dame de Brassempouy de Louise JOURDE. La vie des femmes préhistoriques. Je n'ai pas terminé dette nouvelle car il y a trop de longueur

  12. Omerta de Véronique LAGAY. Le silence d'une mère

  13. Real love mail de Virginie de LAGRANGE-CHANEL. Envoi de mail entre deux cousines, Marie et Alex, sur la mère de Marie

  14. Un baiser rouge grenat d'Estelle MARIOTTE. Une lettre d'une fille à sa mère pour les 10 ans de sa fille puis une autre lettre pour ses 20 ans et elle lui révèle les secrets de sa conception.

  15. Elle chantait de Danielle PICARD. Une fille qui découvre, à la mort de sa mère, que celle-ci chantait.

  16. Les poules de Karine RICHARD. Une mère qui veut absolument des oeufs pour le gâteau d'anniversaire de sa fille de 4 ans

  17. ABC de Karine SAYAGH. C'est l'histoire d'une mère à sa fille avec les lettres de l'alphabet. C'est la nouvelle qui m'a le plus touché en particulier la lettre "T" comme téléphone "L'outil préféré de maman, son ustensile, son 'must-have' à elle. Forfait complices, numéros préférés. Tout est bon pour garder le contact avec ses filles. Elle ici, moi là-bas mais dès que mon portable sonne et que je vois son visage me sourire dans l'écran couleur je lâche tout. Au téléphone je ne peux pas mentir. Je n'ai pas dit 'allô' qu'elle sait déjà si je suis malade ou si quelque chose ne va pas. Les mères savent tout. Le téléphone confirme, valide les thèses maternelles. Le téléphone, je dirais que c'est le meilleur ami des mamans, une façon bien à elles de rester en contact sans avoir l'impression d'interférer dans l'existence de leurs filles". Ce texte me représente totalement.

  18. Maman mère d'Albane URBIN. Je ne l'ai pas lu.

  19. Pourquoi, parce que de Delphine VALLETTE. Peut-on répondre à toutes lquestions de ses enfants.

  20. Fille-mère de Jo-Hanna WITEK Histoire de la naissance vu par le bébé fille.

Mon avis :

Ce livre m'a été prêté par ma fille qui l'a beaucoup aimé et elle avait raison. CEs nouvelles sont toutes différentes et pourtant parlent toujours d'une histoire entre mère et fille. MA préférée est la 17. Jez vous ai mis une partie du texte qui me correspond le plus.

17 janvier 2010

Rhinocéros

jeudi 14 février 2008

Rhinocéros de Ionesco

images

Voici le résumé paru sur Wikipédia,
mon avis, très personnel, est à la fin du résumé.

Un résumé rapatrié de mon autre blog

Rhinocéros d'Eugène Ionesco est une pièce de théâtre en trois actes écrite en prose créée dans une traduction allemande au Schauspielhaus de Düsseldorf le 6 novembre 1959, publiée en français à Paris chez Gallimard la même année, et créée dans sa version française à Paris à l’Odéon-Théâtre de France le 22 janvier 1960.

Pièce emblème du théâtre de l'absurde au même titre que la Cantatrice Chauve, la pièce dépeint une epidémie imaginaire de "rhinocérite", maladie qui effraie tous les habitants d'une ville et les transforme bientôt tous en rhinocéros.

On l'interprète habituellement comme une métaphore de la montée du nazisme dans les années 30 ou de la collaboration en France durant la Seconde Guerre Mondiale.

Résumé

Cette pièce se divise en trois actes, chacun montrant un stade de l'évolution de la "rhinocérite".

  • Acte I

Dans l'acte I, les rhinocéros en liberté provoquent tout d'abord l'étonnement et choquent les personnages. Jean ne comprend pas que cela puisse être possible, il énonce même clairement "cela ne devrait pas exister". L'épicier s'énerve en voyant la ménagère partir avec son chat ensanglanté "Nous ne pouvons pas nous permettre que nos chats soient écrasés par des rhinocéros ou par n'importe quoi !". Comme à la montée de chaque mouvement fasciste, les gens sont tout d'abord effrayés.

  • Acte II

Durant l'acte II, les habitants commencent à se transformer en rhinocéros et à suivre la rhinocérite. C'est là que l'on remarque les premières oppositions clairement marquées, selon Botard c'est "une histoire à dormir debout !", "c'est une machination infâme". Ce dernier ne veut pas croire en la réalité de la rhinocérite comme certains ont pu nier la montée du nazisme. Les personnes commencent à se transformer en rhinocéros : c'est le cas de Monsieur Boeuf, rejoint ensuite par sa femme, "je ne peux pas le laisser comme ça" dit-elle pour se justifier. Les pompiers sont débordés, le nombre de rhinocéros augmente dans la ville. Ensuite, Jean, personnage si soucieux de l'ordre au départ et si choqué par la présence de rhinocéros en ville se transforme en rhinocéros, sous les yeux désespérés de son ami Bérenger. On assiste ainsi à la métamorphose d'un être humain en rhinocéros. Jean est tout d'abord malade et pâle, il a une bosse sur le front, respire bruyamment et a tendance à grogner. Puis il verdit de plus en plus et commence à durcir, ses veines sont saillantes, sa voix devient rauque, sa bosse grossit de plus en plus pour former une corne. Jean refuse que son ami appelle un médecin, il parcourt sa chambre tel une bête en cage, sa voix devient de plus en plus rauque et Jean émet des barrissements. Selon lui, il n'y a rien d'extraordinaire au fait que Boeuf soit devenu rhinocéros, "Après tout, les rhinocéros sont des créatures comme nous, qui ont le droit à la vie au même titre que nous !", lui qui était si cultivé, si littéraire, il proclame soudain "l'humanisme est périmé ! Vous êtes un vieux sentimental ridicule."

  • Acte III

Enfin, à l'acte III, tout le monde est rhinocéros. Bérenger est le seul à réagir normalement et à ne pas trouver cela normal. Il s'affole et se révolte contre la rhinocérite. Dudard miniminise la chose puis devient rhinocéros car son devoir est "de suivre [ses] chefs et [ses] camarades, pour le meilleur et pour le pire. Daisy refuse de "sauver le monde" et suit les rhinocéros qu'elle trouve soudainement beaux, dont elle admire l'ardeur et l'énergie. Finalement, après avoir hésité, Bérenger décide de ne pas capituler : " Je suis le dernier homme, je le resterai jusqu'au bout ! Je ne capitule pas !"

Interprétation

Il s'agit d'une fable dont l'interprétation reste ouverte. L'une de ces interprétations peut-être plus évidente serait la dénonciation de tous les régimes totalitaires (nazisme, stalinisme et autres) et du comportement de la foule qui suit sans rien dire, du stéréotype (d'où la métaphore avec un rhinocéros), par peur de ce régime. Ionesco dénoncerait plus particulièrement l'attitude des Français aux premières heures de l'Occupation. Il dénoncerait aussi le fait que tous les totalitarismes se confondent pour attenter à l'humaine condition et transformer en monstre le meilleur des hommes, que ce soit les intellectuels (représentés par "le Logicien"), ou même les personnes comme Jean, épris d'ordre. Bérenger, dont le spectateur découvre la mutation tout le long de la pièce, lui, est le seul à résister face à l'épidémie de "rhinocérite". C'est le seul à avoir des réactions normales face à cette épidémie : « Un homme qui devient rhinocéros, c'est indiscutablement anormal ». Il représente la résistance qui, petit à petit, se forme lors de la Seconde Guerre. Ionesco utilise, dans son œuvre, l'absurde et le comique, pour accentuer ces faits. Quand Ionesco écrit cette pièce, Ceauşescu est au pouvoir dans son pays, la Roumanie. Dans Rhinocéros, il souhaite aussi dénoncer ce qui se passe dans son pays.

Une satire sur les comportements humains & leur influence face à la montée d’une idéologie ;

Il ressort bien qu’un phénomène minoritaire mais violent entraîne l’incrédulité des habitants qui le rejettent dans un premier temps ; cependant ce rejet est suivi d’une indifférence quand le phénomène s’amplifie, les gens commençant à s’habituer à ce qui les repoussaient. Un point crucial mis en avant par Ionesco est la passivité du peuple qui assiste à cette montée en puissance.

Par la suite un basculement important s’opère à savoir l’extension du mouvement qui rallie de plus en plus de personnes ; Ionesco souligne bien la capacité d’un tel phénomène à rallier des gens différents autour d’un thème central (ici la sauvagerie) & le fait qu’il profite des frustrations & autres déceptions de chacun.

Enfin, une fois le phénomène étendu, l’auteur suggère l’uniformité, la masse ayant adhéré en totalité, ne restant qu’une seule personne, celle dont justement on raillait la rêverie & l’inaction, pour résister & s’opposer lucidement face à cette folie collective.

Métaphore des systèmes totalitaires & des idéologies émergentes, le Rhinocéros est en quelque sorte un témoignage du comportement humain face à un mouvement extrémiste : la peur, le rejet puis l’habitude, la passivité & en fin la conversion de tout un chacun qui s’y retrouve & peu y exprimer ses frustrations profondes.

Ce livre est aussi une démonstration du conditionnement inhérent à la condition humaine & de la solitude de l’homme lucide.

Originalité de l'oeuvre

  • Le dérèglement du langage

Comme dans la plupart des pièces de Ionesco, l'auteur utilise pour symboliser une dérive d'un mode de pensée, un dérèglement de la parole. Ce dérèglement apparaît à plusieurs reprises dans la pièce, mais le passage le plus significatif est le discours du logicien au vieux monsieur. En effet ce passage est une série de faux syllogismes utilisés par le logicien pour "séduire" le vieux monsieur et le convaincre de la grandeur de la logique.

  • Un esprit de système

On peut rapidement remarquer que les personnages présents dans la pièce (à l'exception de Bérenger) sont enfermés dans un esprit de système. En effet le logicien ne pense et n'analyse la situation qu'en utilisant la logique, laquelle lui permettrait de tout comprendre. Il ne peut réfléchir qu'en tant que logicien tout comme Monsieur Papillon qui ne pense qu'en tant que directeur. D'autre part on remarque que Jean est enfermé dans un esprit plein d'idées d'extrême droite (grandeur de la force, de la volonté) alors que Botard semble être d'extrême gauche. Ainsi Ionesco montre à travers cette caractéristique que tout esprit de système aboutit à l'acceptation de l'inacceptable (Dans la pièce, la transformation en rhinocéros)

Mon avis :

J'ai eu beaucoup de difficultés à comprendre le 1er acte, donc j'ai été aux informations sur internet et je suis tombée sur le résumé de Wikipédia retranscrit plus haut. Je n'ai pas aimé cette pièce dejà que je n'aime pas lire les pièces de théâtre mais là sur l'absurde c'est "nul". Une fois que j'ai remplacé les rhinocéros par les nazis, j'ai mieux compris mais c'est une pièce que je ne rerlirazi pas et que je n'irai pas la voir jouer.

Posté par toinette80 à 16:48 - Livres lus en 2008 - Commentaires [1] - Rétroliens [0] - Permalien [#]

Commentaires

Il est très difficile d'"entrer" dans une pièce de théâtre en la lisant. Je ne connais pas "Rhinocéros" mais, au théâtre, j'ai eu l'occasion de voir " la leçon" et "le roi se meurt". La mise en scène, le jeu des acteurs, le décor, les costumes sont aussi des indications, des indices pour nous permettre de comprendre une pièce et d'entrer dans le monde de son auteur. Ici tu es hors contexte et les notes scéniques de la pièce sont souvent lourdes pour une lecture. J'attends ton avis sur Orsenna avec impatience et intérêt. Et je suis fascinée : tu lis plus vite que ton ombre. Je me sens vraiment très très lente. Bonne soirée, Astrid, et à bientôt. Anne.

Posté par 4nn3, jeudi 14 février 2008 à 18:06

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15 janvier 2010

Les psy

J'ai acheté dans un magasin discount un livre contenant deux histoire des psys et comme d'habitude j'ai beaucoup ri, j'adore ces bandes dessinées cela vide la tête. J'ai lu :

  • Areuh!
  • A part ça

J'ai le plaisir de vous mettre une planche pour vous faire découvrir cette bande dessinée

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13 janvier 2010

Mémoire en cage

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Mémoire en cage
de Thierry JONQUET

Quatrième de couverture :

Qui ? Pourquoi ? Comment ? Telles sont les trois questions que se pose le commissaire Gabelou face à ses trois cadavres. Car il y a forcément un lien entre les corps carbonisés retrouvés dans l'appentis du jardinier de l'hôpital. Mais Gabelou nage dans le brouillard. Qui a tué le docteur Morier, responsable du service des infirmes moteurs et cérébraux ? Cynthia, la jeune handicapée en fauteuil électrique ? Et le père de Cynthia ? Et si l'un des trois avait tué les autres et s'était suicidé ensuite ? Mais lequel ?... Ce n'est pas Cynthia qui parlera. C'est bien dommage car, si Gabelou pouvait entendre sa confession, il verrait qu'il ne faut pas se fier aux apparences...

Récit d'une vengeance savamment fomentée, Mémoire en cage est l'un des premiers romans de Thierry Jonquet. D'une construction machiavélique, ce récit est un chef-d'oeuvre de suspense. Il met en scène une machination parfaitement orchestrée par un personnage qui cache admirablement bien son jeu.

Mon avis :

D'abord je remercie Dasola de m'avoir prêté ce livre. J'ai beaucoup aimé, de plus l'histoire se passe en partie dans la Somme. Cynthia, l'héroïne a un problème de colonne vertébrale (un peu moi, non!). Elle a une vengeance diabolique, est-ce que la vérité sera faite, alors là je ne vous le dis pas.

11 janvier 2010

Céllulaire

Sans_titreCELLULAIRE
De Stephen King

SI VOTRE PORTABLE SONNE,
SURTOUT NE REPONDEZ PLUS.
L'ENFER EST AU BOUT DE LA LIGNE

Histoire du livre :

Et s’il y avait de bonnes raisons pour que cellulaire rime avec enfer ?
1er octobre. Dieu trône au paradis, le marché des changes est stable, les avions à peu près à l’heure et Clayton Riddell, un auteur de bandes dessinées, sur un petit nuage. Il vient de décrocher un contrat et l’avenir lui sourit. Mais en quelque seconde, tout bascule dans l’horreur. La cause ? Un phénomène de destruction que déclenche le téléphone portable. Tous les portables… Et qui va plonger le monde dans le chaos, le carnage et les ténèbres. C’est bien dans les affres de la destruction du monde contemporain par les outils de ce même monde que Stephen King nous plonge ici, dans un récit au rythme effroyable qui ne laisse aucun répit au lecteur avant de le conduire au paroxysme de la terreur. Pourtant, malgré l’apocalypse, Cellulaire nous fait rencontrer des personnages attachants, notamment ceux d’adolescents adeptes de la culture informatique qui séduiront de très nombreux lecteurs.

Mon avis :

J'adore Stephen King. J'en ai lu beaucoup il y a quelques années et j'avais arrêté car je trouvais que c'était toujours à peu près la même histoire. J'ai repris en 2008 sa lecture par "Cujo" et je n'ai pas été déçu. L'an dernier j'ai lu "Rage" que j'ai également aimé. "Céllulaireé ne m'a pas déçu, loin de là. Il y a du suspens tout le long du livre et l'on se demande comment les héros vont s'en sortir.
Une anecdote concerant de livre je l'ai lu en même que ma fille lisait "La route" et ses deux livres parlent de la fin du monde. Jen epeux que vous conseiller de le lire.

9 janvier 2010

Ardoise

Ardoise de Philippe DJIAN

Texte emprunté sur Amazon :

Tout a commencé avec Salinger… Philippe Djian a dix-huit ans lorsque, plutôt porté vers la musique et le cinéma, il ouvre par hasard L'Attrappe-cœurs et découvre le pouvoir parfois dévastateur des livres.

Dès les premiers mots se produisait un éblouissement, on était emporté par un courant, par une musique si inhabituelle que des frissons vous parcouraient des pieds à la tête.

La magie opère et le lecteur néophyte n'aura de cesse de disséquer – le style, les sonorités, le rythme… – pour tenter de mieux cerner le séisme intérieur provoqué par ce roman. Suivront au panthéon littéraire de l'auteur de 37,2 ° le matin le Céline de Mort à crédit, Blaise Cendrars et surtout les auteurs américains, n'en déplaise aux défenseurs de Proust et de Flaubert. Kerouac et Sur la route, dont la première phrase est "une lame qui avance en écartant (ses) chairs", Melville, Henry Miller, Faulkner et surtout Richard Brautigan et Raymond Carver, qui "écrit comme une dieu", achèveront l'initiation littéraire du jeune homme.

En rendant un hommage très personnel et tout en émotion à la dizaine d'auteurs qui lui ont donné envie de se lancer dans l'écriture, Philippe Djian efface son Ardoise et nous livre l'autoportrait d'un amoureux d'une littérature qui dérange, secoue, blesse, violente, et jamais ne laisse de marbre. Ce faisant, il nous en dit un peu plus sur sa conception de l'écriture. Une voix, un rythme, un vertige, une mise à nu, voilà ce que revendique Djian lecteur. Voilà qui réunit assurément les auteurs dont il se sent éternellement redevable et dont on a envie, une fois le livre achevé, de redécouvrir les textes.

Présentation de l'éditeur

Philippe Djian rend hommage aux dix livres qui ont marqué sa vie et qui ont fait de lui l’homme qu’il est aujourd’hui. De vingt à trente ans, Philippe Djian a lu comme un fou et a retenu dix livres dont il nous offre sa lecture personnelle et passionnée : L’attrape-cœurs de Jérôme David Salinger ; Mort à crédit de Louis Ferdinand Céline ; Du monde entier de Blaise Cendars ; Sur la route de Jack Kerouac ; Moby Dick de Herman Melville ; La cruxifiction en rose de Henry Miller ; Tandis que j’agonise de William Faulkner ; Le vieil homme et la mer de Ernest Hemingway ; l’œuvre intégrale de Richard Brautigan ; l’œuvre intégrale de Raymond Clevie Carver. 

Mon avis :

J'avais beaucoup aimé le texte préssentant le livre et je me suis dit il est bien. Dès les premières lignes consacrées à "L'attrappe-Coeurs" de Jérome David Salinger, je n'ai rien compris. Je pense qu'il faut d'abord lire les livres cités dans ce livre. Le dernier abandon de l'année 2009.

7 janvier 2010

Un instant d'abandon

4173CHG4YRLQuatrième de couverture :

L'histoire commence là, dans une ville de bord de mer, en automne.
Un homme revient et avec lui, c'est le passé qui ressurgit.
Des années plus tôt, il a été condamné pour un crime, le plus impardonnable qui soit.
Les gens n'ont pas oublié.
Il ne revient pas demander pardon. Il veut retrouver au plus âpre de lui-même cet état d'innocence dont on l'a si violemment privé. Mais en finit-on jamais avec ses disparus et le temps d'avant ?

Mon avis :

J'aime beaucoup Philippe Besson mais j'ai moins aimé ce livre. Le tître est très bien car c'est vraiment un moment d'abandon ou plutôt plusieurs. C'est un homme qu'il ne prend aucune décision, qui ne régit pas sa vie, qui laisse les autres prendre les décisons sauf qu'un jour il souhaite une chose et cela arrive.
Ce n'est le meilleur de Philippe Besson que j'ai lu mais il est bien

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