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Les lectures d'Astrid

10 août 2014

Mes lectures du mois de juillet 2014

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Voici le résultat de mes lectures de juillet 2014 :

  1. Quatre nouvelles sur l'argent (137 pages) : 4 auteurs qui ont écrit des nouvelles sur l'argent.
  2. La vie de ma mère de Thierry Jonquet (143 pages) : Un peu bof
  3. 14-14 de Silène Edgar et Paul Beron (349 pages) : Un journal un peu particulier.
  4. L'odyssée de Noël d'Anne Perry (187 pages) : Mon premier Anne Perry
  5. Amour de ma vie de Guy des Cars (317 pages) : J'aime cet auteur
  6. Trois contes de Gustave FLaubert (138 pages) : Qui ne connat pas ce livre là !

6 livres seulement à cause de ce saleté de trijumeau qui m'a fait souffrir le martyr mais cela va mieux, ce n'est pas parfait mais c'est mieux.

J'ai lu quand même 1271 pages donc 41 pages par jour.

 

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3 août 2014

Noce de velours

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Aujourd'hui nous fêtons nos noces de velours.

Malgré toutes les épreuves,

Nous sommes toujours ensemble

Nous nous aimons de plus en plus.

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2 août 2014

Les plumes d'Asphodèle N°8

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Les plumes d'Asphodèle

Les mots imposés étaient :

Vacances, scolastique, immortalité, seconde, mémoire, longueur, ange, douleur, oubli, repos, cercle, mémoire, passion, péché/chemin*, vampire, jour, cathédrale, lassitude, liane, lucarne.

* Si vous avez utilisé les deux mots péché et chemin, vous n’étiez pas obligé de placer scolastique.

Le mot que j'ai porposé est : DOULEUR, donc j'ai fait un texte autour de ce mot.

Voici mon texte, avec une journée de retard :

La douleur ne laisse pas une seconde de vacances. Elle s'inscrit dans les chemins de notre mémoire. Chaque jour, elle tourne dans notre corps, dans notre tête et ces jours sont d'une longueur interminable.

Certaines personnes se demandent quel péché elles ont commis pour souffrir comme cela, l'oubli ne fait pas partie de la douleur, aucun repos, même pas une petite lucarne de tranquilité.

D'autres vont prier dans les cathédrales, regardent les anges et suivent le chemin de la passion du Christ, et pensent que lui a eu l'immortalité après cette épreuve.

Un autre groupe se rêve en vampire, passant de liane et liane, pour pouvoir avoir le sang des gens qui ne souffrent pas et leur voler leurs anti-corps ou leurs gènes ou peu importe quoi pour ne plus vivre cela.

Toutes ces personnes finissent dans un cercle vicieux et vivent une grande lassitude.

13 juillet 2014

Le pourquoi de mon absence !

J'ai en ce moment une nouvelle crise de névralgie du trijumeau et donc je ne fais presque plus rien. Mon mari est comntent car je ne presque plus parler. Pour le régime c'est le top car je ne presque plus manger non plus mais à part cela tout va bien.

 Je vous souhaite un bon dimanche.

 

Qu'est-ce qu'une névralgie du trijumeau ?

C'est une inflammation ou une compression du nerf trijumeau (principal nerf sensitif du visage), qui provoque une décharge électrique ressentie au niveau du cuir chevelu, du front, du nez, des mâchoires et des gencives.

La survenue de douleurs très vives, le plus souvent à type de décharges électriques, dans les zones desservies par le nerf trijumeau - du cuir chevelu jusqu'aux gencives, d'un seul côté de la tête - signe la névralgie du trijumeau.

Les accès durent quelques secondes et surviennent en salves. Leur caractère imprévisible (on ne sait pas quand ça commence, ni quand ça s'arrête) rend cette affection particulièrement mal acceptée.

La fréquence de la névralgie du trijumeau est-elle élevée ?

La névralgie du trijumeau touche un Français sur 5 000, soit environ 12 750 Français concernés.

Dans les deux tiers des cas, il s'agit d'un senior de plus de 60 ans. Les femmes sont les plus touchées. (Moi je n'ai que 47 ans.)

Lorsqu'une névralgie du trijumeau touche un adulte jeune, il faut rechercher une sclérose en plaques (avec atteinte du nerf trijumeau) car c'est alors la cause la plus fréquente. (heureusement je n'ai pas la sclérose en plaques)

Quels sont les symptômes d'une névralgie du trijumeau ?

Bien que les crises soient brèves (quelques secondes en général), l'intensité de la douleur ressentie est telle que les personnes atteintes de névralgie du trijumeau peuvent être gênées pour vaquer à leurs occupations habituelles. En outre, la crainte d'une nouvelle crise rend cette affection très pénible. (c'est entièrement vrai)

La douleur est si violente qu'elle est volontiers comparée à une décharge électrique comme si on mettait les doigts dans une prise de courant ou que l'on recevait un coup de couteau. Elle peut provoquer des contractures (sous l'effet de la douleur), donnant alors l'impression que la personne a des tics. En revanche, il n'y a pas d'anesthésie de l'hémiface : la sensibilité reste normale, contrairement à une neuropathie périphérique signant la lésion du nerf.

Parfois, c'est un acte banal qui déclenche la crise, comme le fait de se laver les dents, de brosser ses cheveux ou de mastiquer. Lorsqu'elle est déclenchée par la pression d'une zone particulière, on parle de "zone gâchette". Dans ce cas, la personne concernée n'ose plus répéter ces gestes et certaines vont jusqu'à se nourrir avec une paille. (je n'en suis pas encore là)

Bien que la durée des crises soit limitée à quelques secondes dans la plupart des cas, leur répétition - jusqu'à 100 fois par jour - à n'importe quel moment de la journée et sans prévenir, est très mal vécue.

Texte recueilli sur Doctissimo

4 juillet 2014

Les plumes d'Asphodèle N°7

 

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Voici les nouveaux mots pour faire le texte d'Asphodèle, j'ai proposé le mot "famille" et j'essaie de faire un texte autour de mon mot.

Séparation, revoir, froid, embrasser, larmes, famille, fête, ripaille, allégresse, bilan, amour, quai, adieu, joie, ami, inquiétude, irréparable, intensément.

Je vous souhaite une bonne lecture :

La famille de mon mari a organisé une cousinade pour que les frères, soeurs, cousins, cousines puissent se retrouver en faisant la fête et faire ripaille.

La préparation a été pleine d'allégresse mais avec une petite pointe d'inquiétude. Nous avions peur qu'il y ait quelques froids entre certains membres de la famille.

Heureusement tout le monde fut très heureux de se revoir, ils s'embrassaient avec bonheur et aussi quelques larmes. Cette journée se passa dans une grande joie, plein d'amour.

Avant de nous dire adieu, nous nous sommes promenés sur le quai et nous avons rencontrés quelques amis qui étaient ravis de voir notre famille au grand complet. L'heure de la séparation arriva et nous avons vécu les adieux intensément.

Le bilan de ce week-end fut très positif car rien d'irréparable n'a été commis. Nous sommes prêts à renouveler cette opération mais avec ma famille.

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1 juillet 2014

Mes lectures du mois de juin 2014

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Ce mois de juin a été prolifixe en soucis et donc en lectures. J'ai de nouveau mal à ma cheville mais il n'y a rien à faire donc je ne marche presque plus et donc je lis.

Voici ma liste de livres lus :

  1. Kamo l'idée du siècle de Daniel Pennac (85 pages) : La fin ou le dédut de cette saga, j'ai fini par le début et aussi pour le challenge Daniel Pennac de George.
  2. Astrid la peste de Ségolène Valente (52 pages) : Livres pris à la BM par raport au titre
  3. Wonder de R.J. Palacio (408 pages) : Un énorme coup de coeur
  4. Le tueur intime de Claire Favan (668 pages) : Un autre coup de coeur
  5. Je vous demande le droit de mourir de Vincent Humbert (188 pages) : Lu en pensant à Vincent Lambert et je le recommande vivement à ses parents.
  6. Je veux aller à l'école de Catherine de Lasa (40 pages) : Lu pour un certain challenge.
  7. Titeuf, le film de Zep (178 pages) : J'adore Titeuf sauf celui-ci
  8. Le tueur de l'ombre de Claire Favan (551 pages) : La suite du tueur intime

Un bien joli palmarès n'est-ce pas ?

2170 pages et donc environ 72 pages par jour.

commentaires

 

20 juin 2014

Les plumes d'Asphodèle N°6

 

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Les mots à mettre dans le texte sont :

tendresse, peau, solidarité, incompréhension, mosaïque, regard, amour, handicap, souffrir, tolérance, dispute, similitude, solitude, séparation, complémentaire, richesse, éloignement, étranger, égal, déranger, combattre.

En tout, 21 mots auxquels j’ajoute les 3 miens en "h"…

hagard, herbage, horrifiant.

Un total de 24. Vous connaissez la règle… vous en supprimez un si vous le souhaitez !
Amusez-vous, je vous souhaite de belles inspirations !

Voici mon texte :

Le handicap dérange.
Le handicap favorise l'éloignement.
Le handicap crée la séparation .
Le handicap provoque la solitude.
Le handicap fait souffrir à cause du regard des autres
Le handicap est rempli d'incompréhension.

Comment peut-on combattre tout cela pour que les handicapés soient égaux comme les autres personnes.
Fréquenter des handicapés est une richesse et cela nous apporte beaucoup d'amour. Cela nous apprend la tolérance, la solidarité.

La Terre est une mosaïque de personnes de couleurs de peau différentes. Nous avons beaucoup de similitudes et nous sommes complémentaires.  Nous apprenons à connaitre et à vivre avec des étrangers alors pourquoi pas avec des handicapés. Il ne faut pas avoir un air hagard envers les handicapés, un handicapé n'est pas horrifiant, il est comme nous. Il est rempli de tendresse alors pourquoi nous en avons peur ?

Je me dispute souvent avec les gens dits "normaux" car le handicap n'est pas contagieux. Mon rêve est d'organiser un repas dans un herbage avec des personnes de toutes les couleurs et de tous les handicaps.

 

J'ai écrit ce texte en une fois, sans aucune rature. Je pense tellement ce que je viens d'écrire, il sort tout droit de mon coeur.

FREQUENTEZ DES HANDICAPES

VOUS VERREZ L'AMOUR QU'IL VOUS DONNE

 

 

11 juin 2014

Wonder de R.J. Palacio

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WonderQuatrième de couverture :

Ne jugez pas un livre garçon

Sur sa couverture son apparence.

"Je m'appelle August. Je ne me décrirai pas. Quoi que vous imaginiez, c'est sans doute pire."

Né avec une malformation facial, Agust, dix ans, N'est jamais allé à l'école. Aujourd'hui, pour la première fois, ses parents l'envoient au collège... Pourra-t-il convaincre les élèves qu'il est comme eux ?

Dans la lignée du Bizarre incident du chien pendant la nuit, un petit bijou de sensibilité et de drôlerie. Un roman irrésistible sur le destin peu ordinaire d'August Pullman, un enfant différent.

 

Mes impressions :

Un livre de 408 pages que j'ai dévoré en 24 heures.? C'est un livre qui fait parler certains personnages.

AUGUST : Le héros de ce livre, il a un visage vraiment difforme et pour la 1ère fois de sa vie il va aller à l'école. Il rentre en 6ème. Cela na va pas être facile et nous suivons son évolution dans ce monde de brutes. Heureusement il se fait de suite une amie qui se prénomme Summer qui veut dire en français "été".

  • " La fatalité sourit et le destin rit en s'approchant de mon berceau" Natalie Merchant, Wonder

VIA : La soeur d'August. Elle explique comment elle vit le handicap de son frère. Elle l'adore mais de temps en temps il lui pèse mais dès qu'elle s'en aperçoit et elle change aussitôt de comportement. Elle n'a jamais eu honte de son frère.

  • "Du haut du ciel, la Terre est bleu, et je ne peux rien y faire" David Bowie, Space Oddity

SUMMER : La meilleure amie d'August au collège. C'est la seule qui partage sa table à la cantine et qui ne le dégoûte pas. Elle fait une liste où il n'y a que des personnes qui ont un nom ou un prénom qui correspond à l'été à s'asseoir à leur table sauf Jack Will qui a une dérogation.

  • "Tu es magnifique quoi que les gens disent,
  • Les mots peuvent te toucher,
  • Tu es belle de toutes les manières
  • Les mots ne peuvent te toucher." Christine Aguilera, Beautiful

JACK : Le directeur lui a demandé de faire visiter le collège à August. Il s'est pris d'amitié avec lui mais en a honte. Il dit à ses amisque si'il ressemblait à August il se suiciderai. Mais il le surveille et le protège.

  • Voici mon secret. Il est très simple.
  • On ne voit bien qu'avec le coeur
  • L'essentiel est invisible pour les yeux" Antoine de Saint Exupéry, Le petit prince.

JUSTIN  : Le petit copain de Via. Il n'a pas été effrayé par August. Il l'apprécie beaucoup.

  • "Je me dis parfois que si ma tête est si grosse, c'est parce qu'elle est pleine de rêves." John Merrick, Bernard Pomerance, The Elephant Man

MIRANDA : La meilleure amie de Via et elle considère August comme son frère. Elle le dit même à ses amies et à ses professeurs qu'August est son frère. Elle demande à son professeur de théâtre de ne pas faire jouer Elephant Man pour éviter de choquer ses parents mais en vérité c'est pour que Via nesoit pas mal à l'aise.

  • "J'ai oublié que je pouvais découvrir
  • Tant de choses magnifiques
  • J'ai oublié que je pouvais avoir besoin
  • De découvrir ce que la vie a à offrir." Andain, Beautiful Things

Un livre qui explique la différence. Les gens différents physiquement sont comme nous à l'intérieur. Ils ont un coeur et un cerveau comme nous. Un handicapé physique vit comme nous. L'handicap ne s'attape pas.

On apprend beaucoup en fréquentant des personnes différents,

Essayez et vous verrez !

 

 

9 juin 2014

Mes lectures du mois de mai 2014

J'ai lu très peu en mai, je n'ai plus trop de soucis alors je ne lis presque plus.

Je participe au plumes d'Asphodèle et j'adore cela mais cela me prends du temps de lire tous les textes, de laisser des commentaires et de répondre aux commentaires laissés sous mon texte. C'est une expérience très enrichissante.

Voici la liste des livres lus en mai 2014 :

  1. Le club des cinq en péril d'Enid Blyton (188 pages) : J'ai découvert, à 47 ans, le club des 5
  2. La rêveuse d'Ostende d'Eric Emmanuel Scmitt (246 pages) : Des nouvelles comme je les adore.
  3. Le roman de Renart (anonume (118 pages) : Un souvenir d'enfance.
  4. Train d'enfer pour Ange rouge de Franck Thilliez : non terminé lu jusqu'à la page 134 : Je n'arrive plus à lire cet auteur
  5. Vivre vieux et gros : les clés du succés de Michel PLEE (88 pages) : Une BD sur les chats

C'est tout, j'essaie de faire mieux en juin.

774 pages lues en mai ce qui fait 25 pages par jour, une catastrophe.

Aujourd'hui, c'est l'anniversaire de mon homme que j'aime de tout mon coeur.

annive24

6 juin 2014

Les plumes d'Asphodèle N°5

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Voici les mots que l'on devait utiliser :

fesse, attendre, richesse, dent, refuser, doute, vieillesse, circonspection, vertu, crépuscule, lune, philosophie, âge, vanité, sérénité, psalmiste, paix (celui qui écrit des psaumes), graver, gracile, grenadine.

Voici mon texte, j'espère qu'il vous plaira :

Emilie, au crépuscule de sa vie, a un énorme doute :

"A-t-elle réussi sa vie de femme ?"

Ses parents voulaient lui faire des études de philosophie mais elle a refusé. A cette époque, elle était gracile et rêvait de paritr aux Iles Grenadines. Elle n'avait pas la vanité de faire une métier recommandable, elle voulait juste gagner beaucoup d'argent sans faire d'études.

Elle a réussi a construire sa richesse grâce à son métier mais, à son âge avancé, elle ne trouve pas la paix. Elle était une femme de petite vertu. Les hommes aimaient regarder ses beaux yeux, ses dents blanches mais ils adoraient encore p^lus ses fesses rebondies.
Elle n'a pas la sérénité qu'elle devrait avoir car pendant qu'elle attendait ses clients elle écrivait des psaumes. Quand elle devait remplir des papiers administratifs, elle indiquait un métier honorarable : Psalmiste.

Maintenant, en ragardant la Lune et en pensant à sa vie, elle sait au moins cela :

"Son corps restera gravé dans la tête de ses clients"

Et le plus important pour elle :

"Elle a rendu beaucoup d'hommes heureux, et c'est c'est cela le principal pour Emilie"

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