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Les lectures d'Astrid
28 mars 2013

Qui a tué Monsieur Cul ? de François THOMAZEAU

Résumé :

Marseille, la Canebière, le Vieux Port, ses kiosques à journaux... Parlons-en de ses kiosques ! On a beau vouloir éviter le rapprochement, deux kiosquiers dessoudés en moins d'un mois, à coups de Beretta 93, en plein novembre, ça fait tache... Alors quand vient le tour de Monsieur Cul, ce brave revendeur de littérature cochonne qui ne demandait rien à personne, c'en est trop ! Pour Blanco, le flic blasé, comme pour ses potes Schram et Guigou, les deux justiciers Rmistes, pour Marcel le Chinois ou Sharif le journaleux... Et tout ça pour quoi ? Pour quelques paires de seins sur papier glacé ? Une hécatombe pour des fantasmes bon marché ? Ah ! Bonne mère... Elle est belle la pègre ! Quel trafic ! Et quelle concurrence...

Pourquoi je l'ai abandonné :

J'ai arrêté de le lire à la page 36 de la collection Librio car d'une part je n'aime pas lire cette collection, je n'aime les pages ni rien et la deuxième chose je n'ai pas aimé la façon à laquelle l'histoire est racontée. Je ne connais pas Marseille donc je me suis sentie perdue dans le nom des villes, des expressions, etc...

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19 mars 2013

Les villas rouges d'Anne SECRET

Présentation de l'éditeur

Lors d'un transfert pénitentiaire dans Paris, un activiste allemand, mélangeant terrorisme et voyoucratie, est libéré par un commando. Un policier trouve la mort dans l'opération. Kyra, la conductrice de la voiture d'interception, plonge dans la clandestinité et la cavale. Partant de là, le livre d'Anne Secret mute et devient la narration fidèle d'une errance. De villas cossues en baie de Somme à Paris, et d'Ostende au casino de Luxembourg, on accompagne la jeune femme, raccrochée à la vraie vie à travers les nouvelles du monde dispensées par la presse. Kyra poursuit un double but : retrouver un amour trop vite disparu et donner un sens à son existence qu'on devine terne avant l'événement. Ces quêtes relèvent de l'absolu et sont la marque d'une expérience solitaire. Kyra passe un temps infini à attendre, mais cette solitude erratique ne lui pèse pas, sachant qu'elle écrira le mot fin à son histoire. Anne Secret, dépositaire inspirée d'une écriture du comportement, évite les afféteries stylistiques et le pathos encombrant. Nous sommes dans le factuel, la fuite, la naissance du désespoir au centre de paysages noyés, de contacts improbables, de manipulations désinvoltes. Dans ce roman, comme dans L'Escorte (Fayard, 2005), l'écrivain reste cinglante et précise, juste dans la dérive politique et compassionnelle pour les apprentis héros de seconde division.

Mon avis :

L'histoire de ce livre se déroule dans ma région. Les héros passent par Ameins, Abbeville, Ault-Aunival, la Baie de Somme, etc...

C'est l'histoire de voyous que tout oppose. C'est bien mais sans plus, je l'ai lu en juin 2012 et il ne m'en reste rien de l'histoire. Dans mon résumé de mon cahier j'ai noté que cela devait finir comme cela devait finir mais je ne me souviens plus du tout de l'histoire. Un livre qui m'a un peu intéressé car il se passe dans ma région.

Ce livre a été lu dans le cadre du challenge "Vivent nos régions" de Lystig.

16 mars 2013

Le garçon de toutes les couleurs de MArtin PAGE

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Quatrième de couverture :

Clémence rêve d'abandonner son existence monotone de collégienne pour vagabonder à travers le monde, comme ses parents voleurs, et, surtout, pour ne jamais cesser de cambrioler l'ennui. Avec Oscar, son tuteur très particulier, elle est gâtée en étrangeté. Lui aimerait bien fuir son corps avec ses bourrelets embarrassants et ses angoisses paralysantes de fantôme. Chez eux, on s'amuse à traquer le silence avec un fusil de chasse.

Jusqu'au jour où un bonheur écoeurant de sérénité s'installe au collège avec l'arrivée d'un nouveau venu, Simon.

Tout le monde veut lui parler, le connaître, l'aimer. Avoir les yeux posés sur lui. Car Simon n'est pas un garçon comme les autres. Son visage et son corps se couvrent chaque jour de nouvelles taches de couleurs, des couleurs vives et changeantes. Certains l'appellent même le garçon arc-en-ciel. Un jour, Clémence fait un pas vers Simon. Pas pour être son amie, non, elle préférerait se faire mordre par un chien. Mais par curiosité. Elle voudrait juste savoir d'où lui viennent ses couleurs.
Ce qui, d'après lui, ne la regarde pas. Mais Clémence est bien décidée à percer son secret.

Mon avis :

Que peut-on faire quand on sait qu'un enfant est battu ? On interpelle tous les gens que l'on connait mais personne ne bouge. Alors, forcément, il arrive l'irréparable mais qui en est les responsables ? Comment le prouver ? L'histoire est très triste mais pose vraiment les bonnes questions et donne aussi des réponses.

Un livre aux éditions l'école des loisirs (Médium Club). Un livre pour enfant dès la sixième et vraiment un livre à mettre entre toutes les mains, aussi bien les enfants que les parents.

12 mars 2013

Les hommes sont des cons de CHAVAL

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Quatrième de couverture :

Pour tous les amateurs de dessin d'humour, Chaval est considéré comme le dessinateur. Il fut une sorte de météorite, un homme ambigu et lucide pour qui, plus quiconque, l'humour est la politesse du désespoir. "Si mes dessins sont meilleurs que les autres, c'est qu'ils vont jusqu'au bout : ils détruisent tout. Mais ils vont jusqu'au bout parce que j'y vais moi-même, et que je me détruis aussi", avait-il déclaré. 44 ans après son suicide, Chaval est encore et toujours notre contemporain, pour le meilleur et, bien sûr, pour le pire.

Mon avis :

Je remercie tout d'abord Babélio et les éditions Les cahiers dessinés pour l'envoi de ce livre.

Une phrase tiré de l'avant propos de Frédéric PAJAK "Au premier regard, le dessin est réduit au strict minimum ou, ce qui n'est pas tout à fait la même chose, à son maximum d'économie. Chaval dessine avec difficulté, sans grand plaisir, pour pouvoir "bouffer". Il ne s'en cache pas.

Je me demande pourquoi ses dessins ont été réimprimés car ils n'apportent rien dans la compréhension humaine, ils n' apportent de sympathie au contraire. Je ne connaissais pas ce dessinateur et je crois que je regrette de l'avoir croisé. Si ce livre intéresse quelqu'un, je peux lui envoyer sans aucun frais.

 

 

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