Les lectures d'Astrid

Certains d'entre vous savent que je tiens la bibliothèque de mon village avec trois autres personnes (Catherine, Christiane et Séverine). Nous sommes bien soutenu par la municipalité qui nous alloue une somme de 400 euros par an pour des achats de livres. J'ai été en acheter lundi dans une librairie d'Amiens (Martelle, rue des Vergeaux). J'ai surtout acheter des livres pour les enfants à partir de 7 ans car nous n'en avons pas beaucoup.

J'ai le plaisir de vous mettre la liste des livres achetés :

• Les tracteurs (livre à animer pour tout-petits)
• Le tracteur de Peter (pout tout-petits)
• Petit lapin blanc va se coucher
• Petit lapin blanc à la piscine
• Petit ours et la maîtresse
• Petit ours attend sa maman
• Petit ours est amoureux
• Oui-Oui et la poudre magique
• Oui-Oui : Joyeux anniversaire, Mirou
• Oui-Oui et la parrade des jouets
• Oui-Oui fête l'anniversaire de Whiz
• Boucle d'or et les trois ours (livre raconté par Marlène Jobert)

Voilà qui clôture la liste des livres pour les moins de 7 ans.

La liste des plus de 7ans, la voici :

• Winx Club : Les pouvoirs de Bloom
• Winx Club : Bienvenue à Magix
• Winx Club : Les animaux magiques
• Winx Club : Le pouvoir du Believix
• Winx Club : Le pouvoir de Charmix
• Winx Club : A la poursuite du Codex
• Princesse Académy : Le château de Nacre
• Esprit Fantômes : Le mariage de Jaz et Lucie
• Charlotte aux fraises : Mes  5 histoires de princesse
• Cédric : Copains, copines
• La vengeance de la momie d'Evelyne Brisou-Pellen
• La belle lisse poire du prince de Motordu de Pef
• Marsupilami : J'habite chez Marsu
• La grotte des dinosaures : Sur les traces du prédateur écrit par Rex Stone
• La sorcière aux trois crapauds d'Hiawyn Oram
• La bicyclette hantée de Gail Herman
• Mystères au donjon : Le chevalier noir
• Fantastica : Le vaisseau fantôme (tome 1)
• Fantastica : La perle de Lune (tome 2) de Kim Wilkins
• Geronima Stilton : Le sourire de Mona Sourisa
• Geronimo Stilton : Le galion des chats pirates
• L'ABC des filles : le guide 2011

Et pour terminer la liste des livres pour adultes :

• La reine des lectrices d'Alan Bennet
• Soupes : Potages et veloutés (collection chic et gourmande)
• Ma cuisine nomade d'Algérie de Laurent Mohammed Khellout.

Que pensez-vous de cette liste ?
J'attends avec impatience vos commentaires ainsi que vos suggestions pour les prochains achats de la bibliothèque.

Enrique Serpa

Contrebande

Roman traduit de l'espagnol (Cuba) par Claude Fell
Présenté par Eduardo Manet

Ecrit en 1938 et pour la première fois traduit en français, Contrebande est un livre rare. On y perçoit des atmosphères colorées, des sensations ambiguës, sinon contradictoires. Chaud, froid, rire, chagrin… : Enrique Serpa met en scène avec amour et sensualité sa ville et ses compatriotes, dans cette tragi-comédie humaine, terriblement humaine. Martine Laval, Télérama

Premier roman d’Enrique Serpa, Contrebande dépeint à merveille le monde turbulent et misérable de La Havane dans les années vingt. À travers l’agitation d’une foule de pêcheurs, prostituées, contrebandiers, enfants miséreux, on voit couver le feu qui embrasera l'île de Cuba où l’insolente fortune de quelques-uns nargue l’extrême dénuement de la plupart.

Contrebande, c’est aussi l’histoire d’un face-à-face entre le propriétaire de La Buena Ventura et Requin, le capitaine de bord, homme d’honneur et pirate à ses heures. S’instaure vite une atmosphère complexe, ambiguë, faite de mépris et de domination sur fond de fascination.

Publié en 1938, constamment réédité, Contrabando est considéré comme un classique de la littérature cubaine contemporaine.

Mon avis :

Je tenais tout d'abord à remercier Dasola pour le prêt de ce livre. Je ne voulais pas trop le lire et elle m'a conseillé fortement de lel ire et elle a eu raison. Ce livre explique vraiment très bien la vie à Cuba dans les années 30. Je me suis laissée emporter par les personnages.
Vous pouvez lire la critique de Dasola ici :

http://dasola.canalblog.com/archives/2010/04/27/17614764.html

jeudi 30 avril 2009

de Mary Higgins Clark

Quatrième de couverture :

Dans “La Clinique du docteur H”, Mary Higgins Clark, avec une habileté remarquable, tisse la trame effrayante d'un complot médical qui doit rester secret à tout prix et le récit se développe vers un dénouement d'une intensité dramatique proprement hallucinante. La Clinique du docteur H. confirme, après La Nuit du renard, Grand Prix de littérature policière 1980, l'exceptionnelle maîtrise de Mary Higgins Clark, grande romancière de nos angoisses contemporaines.

Mon avis :

Je pense que c'est l'un des meilleurs livres de Mary Higgins Clark. Nous savons le nom de l'assassin dès le début du livre mais pourquoi tue-t-il . Voilà toute l'histoire, nous sommes tenus en haleine jusqu'au bout du livre. Un livre pleins de suspence et de rebondissements.

Je vous souhaite une très douce journée pleine de lecture

Quatrième de couverture :

Serge est cruellement déçu. Il n'a récolté qu'une seule voix à l'éléction des délégués de classe : la sienne.
Comment faire pour devenir populaire ? Se transformer en clown, en cancre ? Se faire aimer ou détester ?
Serge essaie tout, sans succès. Et si la meilleure recette était d'être soi-même ?

Mon avis :

Lu dans le cadre "Découvrons un auteur" chez pimprenelle. Je ne connaissais pas du tout cette auteure jeunesse. Je suis allée à la bibliothèque de la Somme pour chercher des livres pour la bibliothèque de mon village et j'ai trouvé des livres de Marie Aude Murail. J'en ia pris plusieurs et j'ai choisi celui-là pour le lire. Pour une adulte il va très vite à lire. Il donne de bons conseils pour les enfants (et même les grands ?). Merci Pimprenelle pour cette découverte.

Quatrième de couverture :

Souad a 17 ans, elle est amoureuse. Dans son village comme dans beaucoup d'autres, l'amour avant le mariage est synonyme de mort. "Déshonorée", sa famille désigne son beau-frère pour exécuter la sentence.
Aux yeux de tous, cet homme est un héros. C'est ce qu'on appelle un "crime d'honneur". Ce n'est qu'un lâche assassinat. Plus de cinq mille cas sont répertoriés chaque année dans le monde, bien d'autres ne sont jamais connus.
Atrocement brûlée, Souad a été sauvée par miracle. Elle a décidé de parler pour toutes cellesqui aujourd'hui risquent leur vie. Pour dire au monde la barbarie de cette pratique. Elle le fait au péril de sa vie car l'atteinte à "l'honneur" de sa famille est imprescriptible.

"Un cri de guerre"
(L'express)

Mon avis :

BOULEVERSANT.

Ce livre m'a marqué au fer rouge. Je l'ai lu en deux soirées tellement j'ai été happé par l'histoire de Souad (qui n'est pas son vrai prénom), c'est atroce de vivre dans les villages de Cisjordanie. J'ai lu "les hirondelles de Kaboul" mais ce livre est beaucoup plus poignant. C'est normal car c'est une histoire "malheureusment" vraie.

LISEZ-LE

LA VAGUE
De Todd STRASSER

Quatrième de couverture :

Cette histoire est basée sur une expérience réelle qui a eu lieu aux Etats-Unis dans les années 1970. Pour faire comprendre les mécanismes du nazisme à ses élèves, Ben Ross, professeur d'histoire, crée un mouvement au slogan fort : "La force par la Discipline, la Force par la Communaté, la Force par l'Action." En l'espace de quelsues jours, l'atmosphère paisible lycée californéen se transformen en microcosme totalistaire : avec une docilité effrayante, les élèves abandonnent leur libre arbitre pour répondre aux ordres de leur nouveau leader, lui-même totalement pris par son personnage.
Quel choc pourra être assez violent pour réveiller leurs consciences et mettre fin à la démonstration ?

"Ce best-seller, qui est devenu un manuel d'histoire en Allemagne, souligne qu'il est facile de se transformer en petit fasciste du jour au lendemain" (Philippe Vallet - France Info)

Mon avis :

Tout d'abord merci à Cécile de m'avoir fait découvrir ce livre. Je l'ai lu ne deux soirées, j'ai vraiment été happé par l'histoire et je n'arrêtais pas de me répéter que c'est une histoire vraie et cela me fait peur. Je vous le conseille fortement.

"Ce livre d'apprentissage et d'éducation devrait marquer les générations futures
car un peuple sans mémoire est un peuple sans avenir"

Quatrième de couverture :

Une île sauvage du Sud de l'Alaska, accessible uniquement par bateau ou par hydravion, tout en forêts humides et montagnes escarpées. C'est dans ce décor que jim décide d'emmener son fils de treize ans pour y vivre dans une cabane isolée, une année durant. Après une succession d'échecs personnels, il voit là l'occasion de prendre un nouveau départ et de renouer avec ce garçon qu'il connait si mal.
La rigueur de cette vie et les défaillances du père ne tardent pas à transformer ce séjour en cauchemar, et la situation devienjt vite incontrôlable. Jusuq'au drame violent et imprévisible qui scellera leur destin.

Sukkwan Island est une histoire au suspense intenanble. Avec ce roman qui nous entraine au coeur des ténèbres de l'âme humaine, David Vann s'installe d'emblée parmi les jeunes auteurs américains de tout premier plan.

Ce livre est l'un des premiers romans les plus marquants de mémoire récente.
(Robert Olen Butler)

Mon avis :

Je tiens d'abord à remercie Yspaddaden pour le prêt de ce livre. Je vais me faire des "ennemis" mais je n'ai pas trop aimé l'histoire. La première partie est trop longue sur certains aspects et trop courtes sur d'autres. Les dialogues ne sont pas indiqués donc des fois je n'arrivais pas trop à suivre. La deuxiè-me est plus dense mais sans plus. Heureusment l'honneur est sauf à la fin du livre. Une petite déception.

Quatrième de couverture :

Elle s'était juré de ne jamais revoir la maison où sa mère était morte, où elle l'avait tuée. Bien sûr, elle n'était qu'une enfant, c'était un accident, mais pour beaucoup Liza Barton était une criminelle. Les années ont passé. Liza, devenue Celia, connaît enfin le bonheur. Jusqu'au jour où Alex, son mari, à qui elle n'a jamais rien dit, lui fait une surprise en lui offrant une maison dans le New Jersey… Mendham, la maison de son enfance. En guise de bienvenue, ils trouvent cette inscription, en lettres rouge sang : « Danger ! » Quelqu'un connaît la véritable identité de Celia et tente de lui faire endosser un nouveau crime. Tandis qu'elle essaie désespérement de prouver son innocence, le vrai tueur, dans l'ombre, guette ses proies...
Une suspense à la mécanique implacable dont Mary Higgins Clark a le secret. Attention , danger ! Vous allez frémir jusqu'au mot Fin !

Mon avis :

J'aime beaucoup cette auteure et je ne m'en cache pas. C'est une lecture mais efficace car nous sommes facilement pris dans l'engrenage de l'histoire.

écrit par Josh BAZELL

Quatrième de couverture :

"Losque Dr House rencontre les Sopranos" (Usa Today)

"Rapide, drôle, effréné... mieux encore : arrêtez de lire les éloges de Docteur à tuer, ouvrez-le à la première page, commencez à le lire, et on se retrouve à la caisse (Harlan Coben)

Le Dr Peter Brown est interne dans le pire hôpital de Manhattan. Il a du talent pour la médecine, des horaires infernaux et un passé qu’il préférerait passer sous silence. Qu’il s’agisse d’une artère circonflexe bouchée ou d’un projet machiavélique de procès pour erreur médicale, il connaît le mal qui se tapit dans le cœur des hommes.
Il faut dire que dans une autre vie, il a été Griffe d’ours, tueur à gages pour la mafia. Ce génie du combat rapproché a une relation un peu trop intime avec le programme fédéral de protection des témoins et est plus susceptible de laisser traîner une dizaine de cadavres qu’une molécule de preuve à charge.
Eddy Squillante, son nouveau patient, n’a plus que trois mois à vivre, et peut-être moins, lorsqu’il découvre que sous les traits de son nouveau médecin se cache Griffe d’ours. Avec la mafia, le gouvernement et la mort en personne s’abattent sur l’hôpital, Dr Brown survivra-t-il aux huit heures qui suivent et saisira-t-il sa dernière chance de rédemption ?

Mon avis :

Je remercie tout d'abord Lystig pour ce livre-voyageur. Je ne suis pas aussi enthousiaste qu'Harlan Coben et de Lystig. J'ai bien aimé ce livre mais sans plus. Les histoires de mafia sont trop caricatuales dans cette histoire. Un bon moment mais sans plus.

samedi 20 septembre 2008

ZAZIE DANS LE METRO

de RAYMOND QUENEAU

Quatrième de couverture :

- Zazie, déclare Gabriel en prenant un air majestueux trouvé sans peine dans son répertoire, si ça te plaît de voir vraiment les Invalides et le tombeau véritable du vrai Napoléon, je t'y conduirai.
- Napoléon mon cul, réplique Zazie. Il m'intéresse pas du tout, cet enflé, avec son chapeau à la con.
- Qu'est-ce- qui t'intéresse alors ?
Zazie répond pas.
- Oui, dit Charles avec une gentillesse inattendue, qu'est-ce-qui t'intéresse ?
- Le métro.

Mon avis :

Je pensais que c'était un roman drôle mais je ne l'ai pas trouvé drôle du tout. C'est vulgaire. L'écriture de Queneau est très spéciale car il rallonge les mots et des fois nous sommes obligés de relire deux voire trois fois la même phrase pour pouvoir comprendre, exemple :

C'est peut-être vott dame qui me l'a fauché, mon pacson. Elle a peut-être envie de porter des bloudjinzes elle aussi, vott dame.
Qu'est-ce-que c'est un hormosessuel ? demanda Zazie.

En un mot je n'ai pas du tout aimé donc je ne le conseille à personne.